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Paroisse Saint-Amé-des-Trois-Vallées
Paroisse Saint-Amé-des-Trois-Vallées
La Paroisse Saint-Amé des 3 vallées regroupe les secteurs de Saint-Amé, Cleurie, Julienrupt, La Forge, le Syndicat, Vecoux et Dommartin-les-Remiremont. Elle est née le jour de la Pentecôte 2000.
Info Contact
Permanences :
le samedi matin :
- Saint-Amé : de 10 h à 11 h 30
Maison St Jean-Baptiste- 13 Rue de l'église
Tél : 03 29 61 21 32 - Julienrupt : de 10 h 30 à 11 h 30
Ancien presbytère - Salle de l'état civil
Tél : 06 71 21 41 15 - Dommartin de 10 h 30 à à 11 h 30
Maison des associations- Rue de Pont
Tél : 07 88 03 36 62 - Vecoux de 10 h 30 à 11 30
4 rue de la Cure
Tél : 06 20 87 91 87
Journal paroissial :
La Vie au pied des Monts - parution mensuelle
ANNONCIATION BOUGIE A LA FENÊTRE CE 25 Mars à 19 h 30
ANNONCIATION BOUGIE A LA FENÊTRE CE 25 Mars à 19 h 30
ANNONCIATION BOUGIE A LA FENÊTRE CE 25 Mars à 19 h 30
SUSPENSION DES MESSES DOMINICALES 14 MARS 2020
Diocèse de Saint-Dié
le 14 mars 2020
Chers frères prêtres,
Suite à mon communiqué d’hier et tenant compte du message du premier Ministre de ce soir qui demande la fermeture de tous les lieux recevant du public, je vous demande de suspendre toutes les messes dominicales dès ce dimanche et jusqu’à nouvel ordre. Les églises peuvent rester ouvertes pour accueillir la prière individuelle des fidèles. Pour ce dimanche, faites pour le mieux dans la situation que nous connaissons.
Je compte sur vous tous pour célébrer la messe en privé en communion de prière avec les malades et avec l’Eglise universelle.
D'autres instructions vous parviendront prochainement.
+Didier Berthet
https://www.facebook.com/saintamedestroisvallees/posts/2540679022838355?...
ANNONCES SEMAINE 12
NOUVELLES MESURES POUR LE DIOCESE ET LES PAROISSES
MESURES DE PREVENTION CORONAVIRUS DANS LES EGLISES
Communiqué du diocèse de Saint-Dié
Afin de contribuer à la lutte contre l’épidémie de Coronavirus et suite aux recommandations du Ministère des Solidarités et de la Santé, Mgr Didier Berthet, évêque de Saint-Dié, demande à l’ensemble des prêtres et diacres des paroisses du diocèse et à tous les catholiques de respecter jusqu’à nouvel ordre les mesures de préventions suivantes au cours des messes et dans toutes les églises :
Distribuer la communion uniquement dans les mains des fidèles.
Demander aux concélébrants de communier par intinction.
Ne pas échanger le geste de paix pendant les messes, ne pas s’embrasser ni se serrer la main.
Vider les bénitiers présents dans les églises.
Pour les célébrants et ceux qui les assistent, se laver les mains après avoir donné la communion, même dans la main.
Rappeler ces recommandations au début des célébrations pour qu’elles soient entendues et comprises de tous.
Sans vouloir créer de panique, il est normal qu’en tant que citoyens, les catholiques prennent part aux mesures destinées à limiter les risques sanitaires dans la crise actuelle.
Monseigneur Berthet remercie chacun pour le respect de ces consignes et invite les catholiques à prier pour les malades et les soignants.,
Plus d'informations, recommandations et mesures sanitaires sur le site de la préfecture des Vosges : Site préfecture des Vosges
UN COMMUNIQUE DE PRESSE D'ASIL ACCUEIL REMIREMONT
Communiqué de presse
Les municipales ne justifient pas tout
Deux familles albanaises avec 4 enfants en bas âge pour l’une, 3 enfants plus grands pour l’autre viennent de faire l’objet d’une exécution de décision de retour au pays d’origine. L’une vivait à Remiremont depuis 3 ans, l’autre dans les Vosges depuis près de 4 ans, à Remiremont d’abord, puis à St-Maurice. Un 3ème ressortissant des Balkans est également en attente d’expulsion depuis plusieurs semaines en centre de rétention, séparé de sa femme et de ses 3 enfants assignés à résidence.
Ces familles ont essayé de s’insérer au mieux alors que leur situation administrative ne les autorisait pas à travailler. Les enfants sont parfaitement intégrés dans leurs écoles ; ils parlent notre langue avec aisance et les plus grands ont d’excellents résultats scolaires. Ils participent aussi à des activités culturelles et sportives en lien avec leurs établissements scolaires ou avec les associations locales ; ils ont noué des liens forts avec leurs petits camarades.
Est-ce la période électorale qui incite à donner des gages à certains courants politiques et à mettre un terme brutal à ce processus d’intégration dans notre pays ?
Ou faut-il faire de la place pour accueillir de nouveaux migrants dans le contexte du conflit syrien et de l’arrivée en masse de nouveaux réfugiés aux portes de l’Europe ?
Les familles concernées ne sont pas des bagages, qu’on déplace sans conséquences …
Comment peut-on imaginer ce que ressentent des femmes, des enfants, des familles déracinées, qui ont un tel vécu : celui d’avoir quitté un pays et des proches, sans espoir de retour en arrière, sans certitude quant à un avenir meilleur, mais en espérant la sécurité du droit d’asile ? Comment imaginer qu’aux traumatismes du passé et du présent, notre pays, la France, pays des lumières et des droits de l’homme, ne trouve pas de solution après avoir refusé la demande d’asile ? Alors que notre démographie se dégrade, que les entreprises ne trouvent pas de main d’œuvre dans une économie qui repart, comment imaginer qu’on n’ait pas une politique d’accueil et d’humanité ? Pourquoi ajouter à la précarité des situations et à la malveillance du maintien dans une sorte de non droit, l’humiliation d’un retour précipité et non consenti dans un pays d’origine, régi par des us et coutumes dictés par la mafia, la violence, parfois le meurtre et toujours la corruption.
Quel ressentiment allons-nous inculquer dans le cerveau de ces jeunes enfants doublement traumatisés par leur vécu d’hier et par la violence des décisions d’aujourd’hui ?
Les bénévoles qui connaissent et accompagnent ces familles au quotidien dans leur effort d’intégration et d’apprentissage de notre langue et de notre culture, sont meurtris, abattus, voire révoltés par le peu d’humanité des décisions et surtout par la violence de leur exécution.
Certes les familles déboutées du droit d’asile savent qu’on les invite à rentrer au pays. Cette incitation ne supprime pas pour autant les causes de leur venue ici.
Les agents chargés d’aller « cueillir » un couple avec ses enfants, à 6h du matin dans le quartier où ils résident, ou à la sortie de l’école le soir pour les emmener en centre de rétention avant la mise dans un avion spécialement affrété à grand frais, imaginent-ils qu’on puisse faire vivre cela à leurs propres familles ? Bien sûr ils sont payés pour exécuter les décisions prises par d’autres fonctionnaires qui appliquent eux aussi des lois et règlements votés par les majorités parlementaires. Leur tâche n’est pas facile. Leur responsabilité est aussi la nôtre.
La République, à défaut d’être fraternelle, ne devrait-elle pas être au moins bienveillante ?
SOIREE CCFD THIEFOSSE
SOIRE CCFD à Thiefosse maintenue mais sans le partenaire
le 17 mars à 20 h Salle polyvalente derrière la mairie
Les partenaires du CCFD ne viennnent plus en raison du risque de contagion du coronavirus. La soirée présentation d'Earthlore programmée le 17 mars à Thiéfosse est maintenue. Michel Devoille qui a rencontré ce partenaire lors de son voyage d'immersion en Afrique du sud en novembre présentera un diaporama sur les actions d'Earthlore : Défense des droits des autochtones, agroécologie et défense des semences locales.
N'hésitez donc pas à venir à cette soirée qui risque d'être intéressante même si nous sommes tous déçus de ne pouvoir échanger avec l'un de nos partenaires. Temps fort du carême cette soirée en plus de faire connaitre les actions du CCFD a pour but d'apporter de l'argent au pot commun de soutien de tous les projets du CCFD.