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Paroisse Saint-Dié
Paroisse Saint-Dié
Notre paroisse porte le même nom que le diocèse auquel elle est rattachée et couvre la ville entière de Saint-Dié-des-Vosges.
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Permanences :
- du lundi au jeudi de 9h30 à 11h30 et de 14h à 18h
- le vendredi de 9h30 à 11h30 et de 14h à 16h
- le samedi de 9h30 à 11h30
Assomption de la Vierge Marie
XX e Dimanche du temps ordinaire
Alléluia. Alléluia.
Mes brebis écoutent ma voix, dit le Seigneur ;
moi, je les connais, et elles me suivent.
Alléluia.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (12, 49-53)
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
« Je suis venu apporter un feu sur la terre,
et comme je voudrais qu’il soit déjà allumé !
Je dois recevoir un baptême,
et quelle angoisse est la mienne jusqu’à ce qu’il soit accompli !
Pensez-vous que je sois venu mettre la paix sur la terre ?
Non, je vous le dis, mais bien plutôt la division.
Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées :
trois contre deux et deux contre trois ;
ils se diviseront :
le père contre le fils et le fils contre le père,
la mère contre la fille et la fille contre la mère,
la belle-mère contre la belle-fille
et la belle-fille contre la belle-mère.
Pour télécharger la feuille d'annonces, veuillez cliquer sur le lien suivant : https://saint-die.catholique88.fr/sites/default/files/psaintdie-2716/dim...
1) LA PRIERE DES FRERES
2) LES LUMIGNONS
3) PRIERE LIBRE
CATHEDRALE - DIMANCHE 14 AOUT - 14 H - 18 H
avec possibilité de recevoir le sacrement de réconciliation.
La prière des frères :
Quelqu'un prie pour vous, avec vous.
XIXe Dimanche du temps ordinaire
Alléluia. Alléluia.
Veillez, tenez-vous prêts :
c’est à l’heure où vous n’y pensez pas
que le Fils de l’homme viendra.
Alléluia.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (12, 32-48)
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
« Sois sans crainte, petit troupeau :
votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume.
Vendez ce que vous possédez et donnez-le en aumône.
Faites-vous des bourses qui ne s’usent pas,
un trésor inépuisable dans les cieux, là où le voleur n’approche pas,
où la mite ne détruit pas.
Car là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur.
Restez en tenue de service, votre ceinture autour des reins,
et vos lampes allumées.
Soyez comme des gens qui attendent leur maître à son retour des noces,
pour lui ouvrir dès qu’il arrivera et frappera à la porte.
Heureux ces serviteurs-là que le maître, à son arrivée,
trouvera en train de veiller.
Amen, je vous le dis :
c’est lui qui, la ceinture autour des reins, les fera prendre place à table
et passera pour les servir.
S’il revient vers minuit ou vers trois heures du matin
et qu’il les trouve ainsi,
heureux sont-ils !
Vous le savez bien : si le maître de maison
avait su à quelle heure le voleur viendrait,
il n’aurait pas laissé percer le mur de sa maison.
Vous aussi, tenez-vous prêts :
c’est à l’heure où vous n’y penserez pas
que le Fils de l’homme viendra. »
Pierre dit alors :
« Seigneur, est-ce pour nous que tu dis cette parabole,
ou bien pour tous ? »
Le Seigneur répondit :
« Que dire de l’intendant fidèle et sensé à qui le maître confiera la charge de son personnel
pour distribuer, en temps voulu, la ration de nourriture ?
Heureux ce serviteur que son maître, en arrivant, trouvera en train d’agir ainsi !
Vraiment, je vous le déclare : il l’établira sur tous ses biens.
Mais si le serviteur se dit en lui-même :
‘Mon maître tarde à venir’,
et s’il se met à frapper les serviteurs et les servantes,
à manger, à boire et à s’enivrer,
alors quand le maître viendra, le jour où son serviteur ne s’y attend pas
et à l’heure qu’il ne connaît pas,
il l’écartera et lui fera partager le sort des infidèles.
Le serviteur qui, connaissant la volonté de son maître,
n’a rien préparé et n’a pas accompli cette volonté,
recevra un grand nombre de coups.
Mais celui qui ne la connaissait pas,
et qui a mérité des coups pour sa conduite,
celui-là n’en recevra qu’un petit nombre.
À qui l’on a beaucoup donné, on demandera beaucoup ;
à qui l’on a beaucoup confié, on réclamera davantage. »
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Le bien, la tendresse et la sagesse sont des racines solides de l’humanité.
L’amour ne s’impose pas
« Nous sommes les enfants d’une histoire à préserver », a déclaré François, une histoire non « pas choisie, mais reçue comme don ; et c’est un don que nous sommes appelés à préserver ».
Pour accueillir et garder ce don, « nous devons prendre en charge ceux dont nous descendons, ceux qui n’ont pas seulement pensé à eux-mêmes, mais qui nous ont transmis le trésor de la vie », a expliqué le Souverain Pontife, décrivant ensuite le rôle éducatif et spirituel des parents et grands-parents. Ces derniers nous ont en particulier «transmis quelque chose qui ne pourra jamais s’effacer en nous et, en même temps, ils nous ont permis d’être des personnes uniques, originales et libres ». Ils témoignent, et les saints Anne et Joachim avant eux, que « l’amour n’est jamais une contrainte, il ne prive jamais l’autre de sa liberté intérieure ». Cet amour véritable qui pousse chacun vers sa vocation particulière est une leçon pour toute l’Église: « ne jamais opprimer la conscience de l’autre, ne jamais enchaîner la liberté de ceux que nous avons en face de nous et, surtout, ne jamais manquer d’amour et de respect pour les personnes qui nous sont confiées, ces trésors précieux qui conservent une histoire plus grande qu’eux», a décrit le Pape. (...)
Prendre la juste direction
Le Saint-Père a mis en garde contre l’oubli de ceux qui nous ont précédés, appelant à se rappeler leurs conseils passés lors des choix à faire aujourd’hui, ou même à élever un « petit sanctuaire familial» en leur mémoire, afin de «prier pour eux et en union avec eux ».
« Dans le brouillard de l’oubli qui envahit notre époque mouvementée, il est fondamental de cultiver les racines. C’est ainsi que l’arbre grandit, c’est ainsi que l’avenir se construit », a déclaré le Souverain Pontife.
Puis la méditation de François s’est ouverte sur l’avenir. « Nous sommes artisans d’une histoire à construire», a-t-il souligné. (...) « les grands-parents dont nous provenons et les personnes âgées qui ont rêvé, espéré et se sont sacrifiés pour nous, nous posent une question fondamentale: quelle société voulez-vous construire ? Nous avons tant reçu des mains de ceux qui nous ont précédés: que voulons-nous laisser en héritage à notre postérité ? ». Il s’agit notamment de choisir entre la guerre ou la paix, le profit ou la fraternité, la destruction de la création ou sa protection, une foi éteinte ou bien vivante.
Choisir la vie
Le Saint-Père a ensuite mis en garde contre la tradition mal comprise, « qui ne se meut pas en ligne verticale – des racines aux fruits – mais en ligne horizontale – en avant/en arrière – qui nous conduit à la culture de "faire marche arrière" comme en un refuge égoïste », tout en maintenant le présent inchangé.
Les grands-parents et les personnes âgées, a poursuivi le Pape, ont « désiré voir un monde plus juste, plus fraternel et plus solidaire, et ils ont lutté pour nous donner un avenir. Maintenant, c’est à nous de ne pas les décevoir. Soutenus par eux, qui sont nos racines, c’est à nous de porter du fruit. Nous sommes les branches qui doivent fleurir et introduire de nouvelles graines dans l’histoire », a-t-il encouragé.
Mais la fleur unique que représente chacun d'entre nous ne marquera pas l’histoire « en fonction de l’argent qu’on gagne, de la carrière qu’on réalise, du succès et de la considération que l’on reçoit des autres ».
Les critères véritablement féconds sont ceux de la vie, de l’amour, du don de soi-même:
« est-ce que je donne la vie ? Est-ce que j’introduis dans l’histoire un amour qui auparavant n’y était pas ? », sommes-nous « des tisseurs d’espérance, des constructeurs d’avenir, des artisans de paix »?
Le Successeur de Pierre a terminé en invoquant le saint couple du jour, espérant que leur intercession favorise l’éclosion d’un « avenir qui ne soit pas indifférent à ceux qui, désormais plus âgés, ont besoin de plus de temps, d’écoute et d’attention ; un avenir où l’histoire de violence et de marginalisation subie par nos frères et sœurs autochtones ne se répète pour personne ». « Allons de l’avant ensemble, rêvons ensemble », a-t-il conclu.
Adélaïde Patrignani – Cité du Vatican
Fêtons les 100 ans de Marie, Patronne de la France
À cette occasion, le chapelet sera médité mercredi 10 août à 18 h
à la grotte de Foucharupt
et le dimanche 14 août à 20 h 30, lors de la procession aux flambeaux.
Dimanche 14 août, de 14 h à 18 h
Accueil à la Cathédrale pour vivre la prière des frères,
avec possibilité de recevoir le sacrement de réconciliation.
La prière des frères :
Quelqu'un prie pour vous, avec vous.
CONCERT

CONCERT

XVIIIe Dimanche du temps ordinaire
Alléluia. Alléluia.
Heureux les pauvres de cœur,
car le royaume des Cieux est à eux !
Alléluia.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (12, 13-21)
En ce temps-là,
du milieu de la foule, quelqu’un demanda à Jésus :
« Maître, dis à mon frère de partager avec moi notre héritage. »
Jésus lui répondit :
« Homme, qui donc m’a établi pour être votre juge ou l’arbitre de vos partages ? »
Puis, s’adressant à tous :
« Gardez-vous bien de toute avidité, car la vie de quelqu’un,
même dans l’abondance, ne dépend pas de ce qu’il possède. »
Et il leur dit cette parabole :
« Il y avait un homme riche, dont le domaine avait bien rapporté.
Il se demandait :
‘Que vais-je faire ?
Car je n’ai pas de place pour mettre ma récolte.’
Puis il se dit :
‘Voici ce que je vais faire :
je vais démolir mes greniers, j’en construirai de plus grands
et j’y mettrai tout mon blé et tous mes biens.
Alors je me dirai à moi-même :
Te voilà donc avec de nombreux biens à ta disposition,
pour de nombreuses années.
Repose-toi, mange, bois, jouis de l’existence.’
Mais Dieu lui dit :
‘Tu es fou :
cette nuit même, on va te redemander ta vie.
Et ce que tu auras accumulé, qui l’aura ?’
Voilà ce qui arrive à celui qui amasse pour lui-même,
au lieu d’être riche en vue de Dieu. »
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Fêtons les 100 ans de Marie, Patronne de la France
À cette occasion, le chapelet sera médité les mercredis 3 août, 10 août à 18 h
à la grotte de Foucharupt
et le dimanche 14 août à 20 h 30, lors de la procession aux flambeaux.
Dimanche 14 août, de 14 h à 18 h
Accueil à la Cathédrale pour vivre la prière des frères,
avec possibilité de recevoir le sacrement de réconciliation.
La prière des frères :
Quelqu'un prie pour vous, avec vous.
Assomption de la Vierge Marie
Dimanche 14 Août, messe à 20 H 30, Grotte de Foucharupt avec procession aux flambeaux
Lundi 15 Août, messe à 9 H 00 à Saint-Martin et à 10 H 30 à la Cathédrale
Assomption de la Vierge Marie
Messes :
Dimanche 14 août à 20 H 30, grotte de Foucharupt avec procession aux flambeaux.
Lundi 15 août à 9 H 00 à Saint-Martin et à 10 H 30 à la Cathédrale
XVII Dimanche du temps ordinaire
Alléluia. Alléluia.
Vous avez reçu un Esprit qui fait de vous des fils ;
c’est en lui que nous crions « Abba », Père.
Alléluia.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (11, 1-13)
Il arriva que Jésus, en un certain lieu, était en prière.
Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda :
« Seigneur, apprends-nous à prier,
comme Jean le Baptiste, lui aussi, l’a appris à ses disciples. »
Il leur répondit :
« Quand vous priez, dites :
‘Père,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne.
Donne-nous le pain
dont nous avons besoin pour chaque jour
Pardonne-nous nos péchés,
car nous-mêmes, nous pardonnons aussi
à tous ceux qui ont des torts envers nous.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation. »
Jésus leur dit encore :
« Imaginez que l’un de vous ait un ami
et aille le trouver au milieu de la nuit pour lui demander :
‘Mon ami, prête-moi trois pains,
car un de mes amis est arrivé de voyage chez moi,
et je n’ai rien à lui offrir.’
Et si, de l’intérieur, l’autre lui répond :
‘Ne viens pas m’importuner !
La porte est déjà fermée ;
mes enfants et moi, nous sommes couchés.
Je ne puis pas me lever pour te donner quelque chose’.
Eh bien ! je vous le dis :
même s’il ne se lève pas pour donner par amitié,
il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami,
et il lui donnera tout ce qu’il lui faut.
Moi, je vous dis :
Demandez, on vous donnera ;
cherchez, vous trouverez ;
frappez, on vous ouvrira.
En effet, quiconque demande reçoit ;
qui cherche trouve ;
à qui frappe, on ouvrira.
Quel père parmi vous, quand son fils lui demande un poisson,
lui donnera un serpent au lieu du poisson ?
ou lui donnera un scorpion
quand il demande un œuf ?
Si donc vous, qui êtes mauvais,
vous savez donner de bonnes choses à vos enfants,
combien plus le Père du ciel donnera-t-il l’Esprit Saint
à ceux qui le lui demandent ! »
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Et moi, je vous dis : demandez et on vous donnera
Frères et sœurs,
Jésus a donné l’exemple d’une prière continuelle, pratiquée avec persévérance.
Le dialogue constant avec le Père, dans le silence et dans le recueillement, est le cœur de toute sa mission.
La prière doit d’abord être tenace. Dieu est plus patient que nous et celui qui frappe avec foi et persévérance à la porte de son cœur ne sera pas déçu. L’insistance sert à alimenter en nous le désir et l’attente. La parabole de la veuve et du juge inique nous fait comprendre que la foi est une disposition courageuse à invoquer Dieu, à ‘discuter’ avec lui, sans se décourager devant le mal et l’injustice. Dans la parabole du pharisien et du publicain, nous voyons qu’il n’y a pas de vraie prière sans un esprit d’humilité.
Selon l’enseignement de l’Évangile, pratiquer la prière signifie accepter d’expérimenter la nuit de la foi et le silence de Dieu et continuer à être persévérants. Dans ces nuits de la foi, celui qui prie n’est jamais seul.
Jésus nous accueille dans sa prière, afin que nous puissions prier en lui et par lui. Et cela est l’œuvre de l’Esprit Saint. C’est pourquoi l’Évangile nous invite à prier le Père au nom de Jésus. La prière de Jésus donne les ailes que la prière de l’homme a toujours désiré posséder. Sans le Christ, nos prières risqueraient de se réduire à des efforts humains destinés, la plupart du temps, à l’échec.
Le Christ est tout pour nous, même dans notre vie de prière. C’est pourquoi le chrétien qui prie ne craint rien.
Résumé de la cathéchèse du Pape François du 11.XI.2020
Présentation de la vie de Saint Jean de Dieu
Mardi 19 juillet à 16 h, maison Charles-de-Foucauld
Présentation de la vie de Saint Jean de Dieu,
fondateur de l'Ordre :
comment, par son amour des plus pauvres,
il a éveillé le désir à quelques personnes
de devenir ses compagnons.
Évolution de l'Ordre à travers les siècles.
Le charisme de l'hospitalité.
Les différentes œuvres en France et dans le monde.
Temps d'échange : réactions, questions...
avec frère Jean-Marie GÉRARDIN,
originaire de Saint-Dié








