Une quarantaine de personnes se sont retrouvées hier, lundi 11 juillet 2022 à la grotte de Lourdes de Foucharupt à Saint-Dié, autour du père Arnaud Meyer . Des pensionnaires des maisons de retraite de Foucharupt, des Aulnes et de St Déodat étaient présents. Devant une statue de la Vierge Marie fraîchement revêtue d'une nouvelle peinture, l'assemblée a pu réciter le Rosaire afin d'être en communion avec le pélerinage de Lourdes qui débutait le même jour. Cette célébration fut suivie d'un petit goûter offert à chacun.
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Paroisse Saint-Dié
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Notre paroisse porte le même nom que le diocèse auquel elle est rattachée et couvre la ville entière de Saint-Dié-des-Vosges.
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Prière à la Grotte de Foucharupt
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Prière en commun avec les pèlerins des Vosges à Lourdes
XVe Dimanche du temps ordinaire
XVe Dimanche du temps ordinaire
Alléluia. Alléluia.
Tes paroles, Seigneur, sont esprit et elles sont vie ;
tu as les paroles de la vie éternelle.
Alléluia.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (10, 25-37)
En ce temps-là, un docteur de la Loi se leva
et mit Jésus à l’épreuve en disant :
« Maître, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ? »
Jésus lui demanda :
« Dans la Loi, qu’y a-t-il d’écrit ? Et comment lis-tu ? »
L’autre répondit :
« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme,
de toute ta force et de toute ton intelligence,
et ton prochain comme toi-même. »
Jésus lui dit :
« Tu as répondu correctement. Fais ainsi et tu vivras. »
Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus :
« Et qui est mon prochain ? »
Jésus reprit la parole :
« Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits ;
ceux-ci, après l’avoir dépouillé et roué de coups, s’en allèrent, le laissant à moitié mort.
Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa de l’autre côté.
De même un lévite arriva à cet endroit ; il le vit et passa de l’autre côté.
Mais un Samaritain, qui était en route, arriva près de lui ; il le vit et fut saisi de compassion.
Il s’approcha, et pansa ses blessures en y versant de l’huile et du vin ;
puis il le chargea sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui.
Le lendemain, il sortit deux pièces d’argent, et les donna à l’aubergiste, en lui disant :
‘Prends soin de lui ; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai.’
Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain de l’homme tombé aux mains des bandits ? »
Le docteur de la Loi répondit : « Celui qui a fait preuve de pitié envers lui. »
Jésus lui dit : « Va, et toi aussi, fais de même. »
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L’amour du prochain, chemin de la vie éternelle
Nous serons jugés sur nos œuvres de miséricorde
« Je ne dois pas cataloguer les autres pour décider qui est mon prochain et qui ne l’est pas » : c’est la « maxime » du pape François, tirée de la Parabole du Bon Samaritain, proposée dans la liturgie du jour et reproposée aux milliers de fidèles et pèlerins, rassemblés place Saint-Pierre, comme chaque dimanche, sous ses fenêtres, pour la récitation de l’angélus, rapporte l’agence I-media. « Cela dépend de moi d’être ou de ne pas être “le prochain” de quelqu’un, d’une personne que je rencontre et qui a besoin d’aide, a-t-il ajouté, même si elle est étrangère ou peut-être hostile (…) Nous serons jugés sur nos œuvres de miséricorde. »
Un style de vie
« Aimer son prochain n’est pas automatique », avait expliqué le Saint-Père il n’y a pas si longtemps au cours d’une audience générale. Il expliquait aux pèlerins le sentiment de « compassion » comme trait essentiel de la miséricorde de Dieu. En ce dimanche, il est revenu dessus comme cela lui arrive souvent lorsqu’il veut ancrer dans les esprits un concept à lui si cher. Et il ne cessera de le dire : mon « prochain » n’est pas forcément « mes parents », « mes amis », « mes concitoyens » ou « ceux de la même religion que moi », mais toute personne que l’on voit en difficulté, a-t-il insisté. Faire des « bonnes œuvres », a aussi précisé le Pape, ce n’est pas se contenter de « paroles en l’air ». Et le Pontife alors d’improviser en citant les mots de la célèbre chanson « Parole, parole » immortalisés par Dalida : « Cela me rappelle cette chanson “Parole parole”… Non, il faut faire ! Faire ! ».
L’attitude du Bon Samaritain « met à l’épreuve notre foi », a-t-il ajouté. Et comme à chaque fois, le Pape a laissé le fidèle ou le pèlerin, à sa propre introspection intérieure : « Posons-nous la question et laissons répondre notre cœur : notre foi est-elle féconde ? Produit-elle de bonnes œuvres ? (…) Est-ce que je me “fais prochain” ou je passe simplement à côté ? »
Le chemin qui conduit à la vie éternelle
Et ces questions, il vaut mieux se les poser, car, a-t-il averti, « nous serons jugés sur nos œuvres de miséricorde », et « le Seigneur pourrait nous dire : te rappelles-tu de ce jour, sur la route de Jérusalem à Jéricho ? Cet homme à moitié mort, c’était moi. Te rappelles-tu ? Cet enfant affamé, c’était moi. Te rappelles-tu ? Ce migrant que tant de gens veulent chasser, c’était moi. Ces grands-parents seuls, abandonnés dans leurs maisons de retraite, c’était moi. Ce malade seul à l’hôpital, que personne ne va voir, c’était moi ». De rappeler alors aux chrétiens qu’aimer son prochain, l’aimer d’un « amour généreux » est le premier des commandements laissés par le Christ, le chemin qui porte à la vie éternelle ».
Isabelle Cousturié - Aleteia
Edito de Mgr Berthet
Un corps de fraternité
Dans la maladie et la fragilité, je continue donc d’être votre pasteur. Malgré la distance géographique, nous continuons aussi d’être en communion, mais d’une autre manière, ou plutôt d’une manière renouvelée. Lorsque l’évêque dispose de toutes ses forces, il peut se donner pleinement et visiblement à l’Église diocésaine qui lui est confiée. Il visite, encourage, enseigne, dirige et décide, tout en écoutant beaucoup évidemment ! Par sa présence et son activité, il œuvre à la cohésion et à la communion de son troupeau.
Mais lorsque les forces viennent à manquer, lorsque la présence devient plus qu’épisodique et que la capacité de travail fait largement défaut, que devient ce ministère ? Lorsque la fragilité domine, comment le ministère de l’évêque peut-il encore porter du fruit et trouver sa raison d’être ?
Au cours de ces dernières semaines, j’ai éprouvé comme un renversement, une révolution imprévue dans l’alliance qui me liait à vous, dans le don de moi-même au service de l’Église. N’ayant plus la force quotidienne de « me donner » à l’Église dans un ministère actif, je laisse l’Église se donner à moi et me rejoindre dans la prière et la compassion de nombreux amis et fidèles. Au jour le jour, je reçois de nombreux témoignages d’affection filiale et fraternelle, de votre part et de la part de tant de personnes rencontrées dans les diverses étapes de ma vie et de mon ministère.
Dans cette situation inédite, basculée et renversée, je reçois ainsi une grâce spirituelle inattendue. Alors que mon corps physique se dérobe et s’impose comme un corps souffrant, un autre Corps m’est donné : celui que nous formons tous ensemble. Cette Église qui est le Corps du Christ m’est redonnée comme un Corps très fraternel qui me soutient dans la traversée de l’épreuve ; et c’est dans la fragilité même que je poursuis pour vous et avec vous mon service de la communion.
+ Didier Berthet
Évêque de Saint-Dié
Prière en communion
avec les pèlerins des Vosges à Lourdes
Lundi 11 juillet à 15 h, grotte de Foucharupt
Vivre le pèlerinage de Lourdes en 2022
Du 10 au 16 juillet dans les Vosges et à Lourdes
Le rendez-vous tant attendu du pèlerinage
« Des Vosges à Lourdes » aura lieu
du dimanche 10 au samedi 16 juillet 2022.
Ce pèlerinage sera vécu à la fois en route vers le sanctuaire haut-pyrénéen et dans les Vosges dans un esprit d’union, de prière et de partage avec nos pèlerins. Ainsi, 325 personnes se rendront à Lourdes même : 277 hospitaliers – dont 75 jeunes, 10 cadets, 23 animateurs et 88 pèlerins malades – et 48 pèlerins.
Le thème 2022 : « Allez dire aux prêtres... »
Le traditionnel pèlerinage diocésain portera sur le thème pastoral de 2022 à 2024 préparé par le sanctuaire de Lourdes, sur les paroles que Marie a confiées à Bernadette Soubirous le 2 mars 1858 : « Allez dire aux prêtres que l’on bâtisse ici une chapelle et que l’on y vienne en procession.» Compte tenu de la richesse de ces paroles et pour mieux les faire goûter aux pèlerins, elles seront proposées en trois temps, sur trois pèlerinages successifs :
ANNÉE 2022 : « Allez dire aux prêtres… »
ANNÉE 2023 : « …que l’on bâtisse ici une chapelle… »
ANNÉE 2024 : « …que l’on y vienne en procession. »
La Vierge Marie interpelle et invite toute personne, à la suite de Bernadette Soubirous, à faire appel à l'enseignement de l'Église mais aussi à faire appel à l'expérience du saint et fidèle Peuple de Dieu. Cette démarche pastorale invite chaque membre de l'Église, y compris les prêtres, à s'approprier l'expérience de Bernadette.
Pour lire le Livret – Pèlerinage de Lourdes 2022 : https://fr.calameo.com/books/006904070a99e59fde23d
Édito du père Denis Beligné
AVEC MARIE, TRAVERSER L’ÉPREUVE
Le Mardi Saint, lorsqu’il a annoncé au diocèse prendre un temps de recul en raison de sa maladie, notre évêque Mgr BERTHET, nous tournait tous vers le pèlerinage de Lourdes. Au-delà de convenances humaines et matérielles liées au calendrier du diocèse ou à celui des soins, Lourdes est par excellence le lieu où toute souffrance est accueillie par Marie, notre refuge, notre consolatrice. La foi et la piété de l’Église ont toujours reconnu la maternité de Marie jusqu’au pied de la croix – stabat Mater – et au-delà, dans la vie de l’Église, ‘maintenant et à l’heure de notre mort’.
Il y a une grande affinité entre la maternité et notre salut : la femme met en jeu sa propre vie pour donner la vie tandis que le Christ livre sa vie pour que nous ayons la vie. Saint Paul d’ailleurs compare le salut de ‘la Création tout entière’ à un ‘enfantement’ (Rm 8, 22) et l’Apocalypse nous fait contempler « une Femme, ayant le soleil pour manteau, la lune sous les pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles. Elle est enceinte, elle crie, dans les douleurs et la torture d’un enfantement » (Ap 12, 1-2). De ce combat perdu d’avance contre le dragon, la femme sort victorieuse avec son enfant.
L’épreuve quelque qu’elle soit nous fait entrer dans ce combat de la vie, et tant de personnes souffrantes et ‘cabossées de la vie’ se tournent vers Marie. Ce n’est pas pour rien ! ‘Debout au pied de la croix’, Marie sait compatir – c’est-à-dire souffrir avec nous – parce que « Si un seul membre souffre, tous les membres partagent sa souffrance » (1Co 12, 26). La compassion est un autre nom de la communion des saints. Marie nous apprend en même temps que, si toute épreuve est une souffrance à affronter, elle s’ouvre aussi sur le mystère d’une vie nouvelle à accueillir. L’espérance chrétienne n’a rien du fatalisme résigné !
Lors des JMJ à Cracovie, le pape François pointait avec humour la tentation d’un ‘bonheur sur canapé’, bonheur sans aspérité et tranquille mais qui provoque ‘une paralysie silencieuse qui peut nous détruire le plus’. À l’école de Marie et à la suite du Christ, redécouvrons à l’inverse qu’il n’y a de vie pour moi ni pour l’autre sans le risque de ma propre vie.
Père Denis Beligné
Vicaire général
Diocèse de Saint-Dié
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XIVe Dimanche du temps ordinaire
XIVe Dimanche du temps ordinaire
Alléluia. Alléluia.
Que dans vos cœurs, règne la paix du Christ ;
que la parole du Christ habite en vous
dans toute sa richesse.
Alléluia.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (10, 1-12. 17-20)
En ce temps-là, parmi les disciples,
le Seigneur en désigna encore 72,
et il les envoya deux par deux, en avant de lui,
en toute ville et localité où lui-même allait se rendre.
Il leur dit :
« La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux.
Priez donc le maître de la moisson
d’envoyer des ouvriers pour sa moisson.
Allez ! Voici que je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups.
Ne portez ni bourse, ni sac, ni sandales,
et ne saluez personne en chemin.
Mais dans toute maison où vous entrerez,
dites d’abord :
‘Paix à cette maison.’
S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui ;
sinon, elle reviendra sur vous.
Restez dans cette maison, mangeant et buvant ce que l’on vous sert ;
car l’ouvrier mérite son salaire.
Ne passez pas de maison en maison.
Dans toute ville où vous entrerez et où vous serez accueillis,
mangez ce qui vous est présenté.
Guérissez les malades qui s’y trouvent
et dites-leur :
‘Le règne de Dieu s’est approché de vous.’ »
Mais dans toute ville où vous entrerez
et où vous ne serez pas accueillis,
allez sur les places et dites :
‘Même la poussière de votre ville, collée à nos pieds,
nous l’enlevons pour vous la laisser.
Toutefois, sachez-le :
le règne de Dieu s’est approché.’
Je vous le déclare :
au dernier jour, Sodome sera mieux traitée que cette ville. »
Les 72 disciples revinrent tout joyeux, en disant :
« Seigneur, même les démons nous sont soumis en ton nom. »
Jésus leur dit :
« Je regardais Satan tomber du ciel comme l’éclair.
Voici que je vous ai donné le pouvoir d’écraser serpents et scorpions,
et sur toute la puissance de l’Ennemi :
absolument rien ne pourra vous nuire.
Toutefois, ne vous réjouissez pas parce que les esprits vous sont soumis ;
mais réjouissez-vous parce que vos noms se trouvent inscrits dans les cieux. »
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La vieillesse, un temps pour le service et la gratitude
« La belle-mère de Simon était au lit, elle avait de la fièvre. Aussitôt (…). Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever » (Mc 1, 29-31). La guérison de la belle-mère de Simon nous révèle la fragilité du corps d’une personne âgée, a indiqué le Pape François. À cet âge de la vie, « la vigueur du corps faiblit et nous abandonne, même si notre cœur ne cesse de désirer », a-t-il exprimé. Il faut alors apprendre à purifier le désir : être patient, choisir ce que l'on demande au corps et à la vie.
Une responsabilité commune
Ce passage de l’Évangile offre un premier enseignement : Jésus ne se rend pas tout seul chez cette vieille femme malade, mais la visite accompagné de ses disciples. À son exemple, c’est toute la communauté chrétienne qui est responsable de prendre soin des personnes âgées, tant les parents et leurs enfants, que les amis de la famille, a demandé le Saint-Père : « La visite des personnes âgées doit se faire à plusieurs, ensemble et souvent », a-t-il appelé. « Jésus lui-même nous enseignera comment les aimer. »
Le Saint-Père a à cette occasion souligné l'importance cruciale du dialogue intergénérationnel. « Le dialogue entre jeunes et vieux, enfants et grands-parents est fondamental pour la société, il est fondamental pour l'Église, il est fondamental pour la santé de la vie. Là où il n'y a pas de dialogue entre jeunes et vieux, quelque chose manque et une génération sans passé, c'est-à-dire sans racines, grandit. »
Une gratitude à cultiver
La guérison de cette vieille femme relatée dans l’Évangile offre un second enseignement à l’Église. Une fois le Christ à ses côtés, la belle-mère de Pierre « se leva et se mit à les servir », indique le récit biblique. À son image, « Il est bon que les personnes âgées cultivent encore la responsabilité de servir, en surmontant la tentation de se mettre à l'écart », a exprimé François. Bien que cette gratitude du quotidien nous concerne tous, « ces anciens qui entretiennent la disposition pour la guérison, la consolation,l'intercession pour leurs frères et sœurs, sont peut-être le témoignage le plus grand de la pureté de cette gratitude qui accompagne la foi », a affirmé François.
Le Saint-Père a ainsi souligné que les personnes âgées seraient davantage encouragées à exercer le « précieux ministère de la gratitude » envers Dieu si, au lieu d'être rejetées et congédiées de la scène des évènements qui marquent la vie de la communauté, elles étaient placées au centre de l'attention collective. « La gratitude des personnes âgées pour les dons reçus de Dieu dans leur vie (…) redonne à la communauté la joie du vivre ensemble », a-t-il expliqué.
La gratitude « n’est pas une affaire de femmes »
L'esprit d'intercession et de service, que Jésus prescrit à tous ses disciples, n'est pas simplement une affaire de femmes, a enfin relevé François au cours de l’audience générale. « Le service évangélique de la gratitude pour la tendresse de Dieu n'est en aucun cas inscrit dans la grammaire de l'homme maître et de la femme servante. »
Cela n'enlève rien cependant au fait que « les femmes, sur la gratitude et la tendresse de la foi, peuvent enseigner aux hommes des choses que les hommes ont plus de mal à comprendre », a considéré le Saint-Père. La belle-mère de Pierre, avant que les Apôtres n'arrivent, sur le chemin à la suite de Jésus, leur a aussi montré le chemin. Et la délicatesse particulière de Jésus, qui «lui a touché la main » et « s'est penché délicatement » sur elle, a mis en évidence la sensibilité spéciale à l’égard des faibles et des malades, que le Fils de Dieu avait certainement apprise de sa Mère.
Claire Riobé - Cité du Vatican








