Dimanche 26 septembre à 10 h 30 en la Cathédrale de Saint-Dié, Monseigneur Armand MAILLARD fêtait son jubilé de 25 ans d'ordination épiscopale en présence de nombreux fidèles venus lui témoigner leur amitié par leur présence. Monseigneur Jean-Paul MATHIEU, ancien évêque de Saint-Dié, était à ses côtés. Un verre de l'amitié, servi dans le cloître, faisait suite à cette sympathique cérémonie.
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Paroisse Saint-Dié
Paroisse Saint-Dié
Notre paroisse porte le même nom que le diocèse auquel elle est rattachée et couvre la ville entière de Saint-Dié-des-Vosges.
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Permanences :
- du lundi au jeudi de 9h30 à 11h30 et de 14h à 18h
- le vendredi de 9h30 à 11h30 et de 14h à 16h
- le samedi de 9h30 à 11h30
Jubilé de Monseigneur Maillard
Jubilé de Monseigneur MAILLARD
Dimanche 26 septembre, à la messe de 10 h30 à la Cathédrale,
Monseigneur Armand MAILLARD fête son Jubilé des 25 ans d'ordination épiscopale.
Nous sommes tous invités à partager ce moment de joie et d'action de grâce avec lui.
Si vous souhaitez télécharger la feuille d'annonces, veuillez cliquer sur le lien suivant :
/sites/default/files/psaintdie-2716/dimanche_26_septembre_2021_.pdf
L'École de la Foi
Vous désirez vous former et apprendre
à «mieux rendre compte de l’espérance
qui est en vous » ?
Tous appelés à grandir comme évangélisateurs,
employons-nous à une meilleure formation,
à un approfondissement de notre amour,
à un témoignage plus clair de l’Évangile.
Nous devons trouver le mode de communiquer Jésus qui corresponde à la situation dans laquelle nous nous trouvons.
Dans tous les cas, nous sommes tous appelés à offrir aux autres le témoignage explicite de l’amour salvifique du Seigneur, qui, bien au-delà de nos imperfections, nous donne sa proximité, sa Parole, sa force, et donne sens à notre vie. Notre imperfection ne doit pas être une excuse ; au contraire, la mission est un stimulant constant pour ne pas s’installer dans la médiocrité et pour continuer à grandir. Le témoignage de foi que tout chrétien est appelé à donner, implique d’affirmer, comme Saint Paul : «Non que je sois déjà au but, ni déjà devenu parfait, mais je poursuis ma course […] et je cours vers le but » (Ph 3, 12-13) (Pape François)
Le doyenné de Saint-Dié propose un temps de formation simple et accessible à tous.
Pour qui ?
Tous les chrétiens adules et jeunes adultes qui désirent acquérir des repères sur la foi et confronter leur vie chrétienne aux questions de notre temps.
Quand ?
de 20 h à 21 h 30.
les mardis 26 octobre, 14 décembre, 15 février, 5 avril et 14 juin.
Où ?
À Saint-Dié, maison Charles-de-Foucauld au 5 rue de la cathédrale.
Thème de l'année : l’Église dans toutes ses dimensions.
Cette formation repose sur une pédagogie active.
Chaque séance est ouverte par un temps de prière puis lecture d’un texte (Bible ou Vatican II). Le don le plus précieux que l’Église puisse offrir au monde de ce temps, désorienté et inquiet, c’est d’y former des chrétiens affermis dans l’essentiel et humblement heureux de leur foi.
P. Gilbert NZENZEMON.
Feuille d'annonces
Vous pouvez télécharger la feuille d'annonces paroissiales en cliquant sur le lien suivant :
/sites/default/files/psaintdie-2716/dimanche_19_septembre_2021.pdf
Feuille d'annonces
Bienvenue à la maison !
Le Congrès Mission permet à tous les chrétiens de commencer leur année en choisissant de suivre le Christ et de I’annoncer.
Vitrine de la vitalité de la mission en France, capteur des attentes et des aspirations de nos concitoyens, Ie Congrès Mission est conçu comme un laboratoire : chaque participant s’y pose la question des actions simples et à sa portée qu’iI peut réaliser pour que Ie Nom du Seigneur soit connu.
Chacun peut découvrir une modalité d’annonce proche de sa personnalité et de ses apostolats naturels et rêver sa propre manière d’être missionnaire. Les contacts se font facilement et I’enthousiasme grandit au fur et à mesure que les idées fusent. Chacun se rend compte qu’iI a un rôle à jouer et que l’Eglise s’appuie sur tous.
15 août
Comme chaque année, la paroisse a délocalisé la célébration de l'Assomption à la grotte dite "de Lourdes", dans le quartier de Foucharupt.



Rentrée du caté

Et aussi : éveil à la foi, aumônerie des collèges et lycées. Toutes les inscriptions le même jour.
Quinze sœurs de Saint-Jean
Quinze religieuses de Saint-Jean, en formation dans la maison de la congrégation à Rimont (Saône-et-Loire), sont de passage en Déodatie. Elles ont notamment célébré et chanté la messe du 16 juin à la petite église, puis ont visité la cathédrale Notre-Dame. Les soeurs ont prié avec les enfants de la catéchèse paroissiale avant de poser avec eux sur les marches du portail de la cathédrale.

Les soeurs dans le cloître de l'ensemble cathédral.

Les soeurs avec les enfants de la catéhcèse de la paroisse Saint-Dié, après la prière du chapelet.
Pape François
Paroles du pape François avant l’angélus, dimanche 13 juin 2021 (traduction : Zenit ; photo Vatican News)
Les paraboles que la liturgie nous présente aujourd’hui – deux paraboles – s’inspirent précisément de la vie ordinaire et révèlent le regard attentif de Jésus, qui observe la réalité et, à travers de petites images quotidiennes, ouvre des fenêtres sur le mystère de Dieu et sur la vie humaine. Jésus parlait d’une manière facile à comprendre, il parlait par des images de la réalité, de la vie quotidienne. Ainsi, il nous enseigne que même les choses quotidiennes, celles qui parfois semblent toutes identiques et que nous continuons avec distraction ou fatigue, sont habitées par la présence cachée de Dieu, c’est-à-dire qu’elles ont un sens. Alors, nous aussi, nous avons besoin d’un regard attentif, pour pouvoir « chercher et trouver Dieu en toutes choses ».
Aujourd’hui, Jésus compare le Royaume de Dieu, c’est-à-dire sa présence qui habite le cœur des choses et du monde, à la graine de moutarde, c’est-à-dire à la plus petite graine qui existe : elle est toute petite. Pourtant, jetée en terre, elle grandit pour devenir le plus grand arbre (cf. Mc 4, 31-32). Dieu aussi. Parfois, le vacarme du monde, ainsi que les nombreuses activités qui remplissent nos journées, nous empêchent de nous arrêter et de voir comment le Seigneur dirige l’Histoire. Et pourtant – l’Évangile l’assure – Dieu est à l’œuvre, comme une petite bonne semence, qui germe silencieusement et lentement. Et, peu à peu, elle devient un arbre luxuriant, qui donne vie et rafraîchissement à tout le monde. Même la semence de nos bonnes œuvres peut sembler petite ; pourtant, tout ce qui est bon appartient à Dieu et porte donc humblement ses fruits. Le bien – rappelons-le – grandit toujours humblement, de manière cachée, souvent invisible.

Chers frères et sœurs, par cette parabole, Jésus veut nous donner confiance. Dans de nombreuses situations de la vie, en effet, il peut arriver qu’on se décourage, car on voit la faiblesse du bien par rapport à la force apparente du mal. Et l’on peut se laisser paralyser par la méfiance quand on voit que l’on s’est engagé, mais que les résultats n’arrivent pas et que les choses semblent ne jamais changer. L’Évangile nous demande de porter un nouveau regard sur nous-mêmes et sur la réalité ; il demande d’avoir des yeux plus grands, qui sachent voir au-delà, surtout au-delà des apparences, pour découvrir la présence de Dieu qui, comme humble amour, est toujours à l’œuvre sur le terrain de notre vie et sur celui de l’Histoire. C’est notre confiance, c’est ce qui nous donne la force d’avancer chaque jour avec patience, en semant un bien qui portera du fruit. Comme cette attitude est aussi importante pour bien sortir de la pandémie ! Cultiver la confiance d’être entre les mains de Dieu et en même temps nous engager tous à reconstruire et recommencer, avec patience et constance.
Les mauvaises herbes de la méfiance peuvent aussi s’enraciner dans l’Église, surtout lorsque nous assistons à la crise de la foi et à l’échec de divers projets et initiatives. Mais n’oublions jamais que les résultats des semailles ne dépendent pas de nos capacités : ils dépendent de l’action de Dieu, c’est à nous de semer, et de semer avec amour, avec engagement et avec patience. Mais la force de la graine est divine. Jésus l’explique dans l’autre parabole d’aujourd’hui : le fermier jette la semence et ne se rend pas compte alors comment elle porte du fruit, car c’est la semence elle-même qui pousse spontanément, jour et nuit, quand il s’y attend le moins (cf. vv. 26-29). Avec Dieu, même dans les sols les plus secs, il y a toujours l’espérance de nouvelles pousses.
Que la Très Sainte Vierge Marie, humble servante du Seigneur, nous apprenne à voir la grandeur de Dieu qui agit dans les petites choses et à vaincre la tentation du découragement. Faisons-lui confiance chaque jour !








