
Vous êtes ici
Paroisse Saint-Dié
Paroisse Saint-Dié
Notre paroisse porte le même nom que le diocèse auquel elle est rattachée et couvre la ville entière de Saint-Dié-des-Vosges.
Info Contact
Permanences :
- du lundi au jeudi de 9h30 à 11h30 et de 14h à 18h
- le vendredi de 9h30 à 11h30 et de 14h à 16h
- le samedi de 9h30 à 11h30
Semaine Sainte
Semaine Sainte

IIIe Dimanche de Carême

Un an de guerre en Ukraine, l’appel du Pape François
Lors de l’audience générale du mercredi 22 février, à deux jours du premier anniversaire de l’invasion de l’Ukraine, Le Souverain pontife a dénoncé une «guerre absurde et cruelle» et a, une nouvelle fois, appelé à la paix. « Une victoire construite sur des ruines ne sera jamais une véritable victoire », a déclaré François, attristé, lors de l’audience générale à deux jours du «triste anniversaire» de la guerre en Ukraine. Le 24 février 2022, le président russe lançait l'attaque sur son voisin ukrainien. Un an plus tard, selon un bilan de la Norvège, on compte 180 000 morts ou blessés parmi les soldats russes, 100000 côté ukrainien, dont 30 à 40 000 civils et 400 enfants. «Le bilan des morts, des blessés, des réfugiés, des personnes isolées, des destructions, des dégâts économiques et sociaux est éloquent », a commenté l’évêque de Rome, qui depuis le début de l’invasion russe, appelle incessamment à la paix. La guerre en Ukraine restera associée à des images indélébiles, rappelle l’AFP, des cadavres de civils, certains les mains attachées dans le dos, éparpillés dans une rue de Boutcha, près de Kiev, après le retrait des forces russes en avril. Une peluche ensanglantée devant la gare de Kramatorsk, bombardée alors que des milliers de civils tentaient d'évacuer la région. Entamer des négociations de paix
« Le Seigneur pourra-t-il pardonner autant de crimes et autant de violence ? Il est le Dieu de la paix », questionne François, avant d’inviter à rester proche du peuple ukrainien et à se demander : « A-t-on fait tout le possible pour arrêter la guerre?» « Je lance un appel à ceux qui détiennent l'autorité sur les nations pour qu'ils fassent des efforts concrets pour mettre fin au conflit, pour parvenir à un cessez-le-feu et entamer des négociations de paix», a conclu le Saint-Père. Actuellement, la ligne de front "active " s'étend sur 1 500 km du nord au sud dans l'est de l'Ukraine, selon le chef de l'armée ukrainienne Valery Zaloujny, cité par l’AFP. Parmi les points chauds, Bakhmout, qualifié d'«enfer sur terre» par les combattants ukrainiens, fait l'objet d'une bataille sanglante depuis l'été. Forces russes et mercenaires de Wagnery progressent, mètre par mètre, depuis quelques semaines. Quelques milliers de civils vivent encore dans les villes bombardées, terrés dans des caves, sans eau ni électricité, dépendants de l'aide humanitaire livrée par de courageux volontaires.
Source : Vatican News
IIIe Dimanche de Carême

IIIe dimanche de Carême
Gloire à toi, Seigneur.
Tu es vraiment le Sauveur du monde, Seigneur !
Donne-moi de l’eau vive : que je n’aie plus soif.
Gloire au Christ,
Sagesse éternelle du Dieu vivant.
Gloire à toi, Seigneur.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (4, 5-42)
En ce temps-là, Jésus arriva à une ville de Samarie, appelée Sykar,
près du terrain que Jacob avait donné à son fils Joseph.
Là se trouvait le puits de Jacob.
Jésus, fatigué par la route, s’était donc assis près de la source.
C’était la sixième heure, environ midi.
Arrive une femme de Samarie, qui venait puiser de l’eau.
Jésus lui dit : « Donne-moi à boire. »
– En effet, ses disciples étaient partis à la ville
pour acheter des provisions.
La Samaritaine lui dit : « Comment ! Toi, un Juif, tu me demandes à boire,
à moi, une Samaritaine ? »
– En effet, les Juifs ne fréquentent pas les Samaritains.
Jésus lui répondit : « Si tu savais le don de Dieu
et qui est celui qui te dit : ‘Donne-moi à boire’,
c’est toi qui lui aurais demandé,
et il t’aurait donné de l’eau vive. »
Elle lui dit : « Seigneur, tu n’as rien pour puiser,
et le puits est profond.
D’où as-tu donc cette eau vive ?
Serais-tu plus grand que notre père Jacob
qui nous a donné ce puits,
et qui en a bu lui-même, avec ses fils et ses bêtes ? »
Jésus lui répondit : « Quiconque boit de cette eau
aura de nouveau soif ; mais celui qui boira de l’eau que moi je lui donnerai
n’aura plus jamais soif ; et l’eau que je lui donnerai
deviendra en lui une source d’eau jaillissant pour la vie éternelle. »
La femme lui dit : « Seigneur, donne-moi de cette eau,
que je n’aie plus soif, et que je n’aie plus à venir ici pour puiser. »
Jésus lui dit : « Va, appelle ton mari, et reviens. »
La femme répliqua : « Je n’ai pas de mari. »
Jésus reprit : « Tu as raison de dire que tu n’as pas de mari :
des maris, tu en a eu cinq,
et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari ;
là, tu dis vrai. »
La femme lui dit : « Seigneur, je vois que tu es un prophète !...
Eh bien ! Nos pères ont adoré sur la montagne qui est là,
et vous, les Juifs, vous dites que le lieu où il faut adorer est à Jérusalem. »
Jésus lui dit : « Femme, crois-moi :
l’heure vient où vous n’irez plus ni sur cette montagne ni à Jérusalem
pour adorer le Père.
Vous, vous adorez ce que vous ne connaissez pas ;
nous, nous adorons ce que nous connaissons,
car le salut vient des Juifs.
Mais l’heure vient – et c’est maintenant –
où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et vérité :
tels sont les adorateurs que recherche le Père.
Dieu est esprit, et ceux qui l’adorent,
c’est en esprit et vérité qu’ils doivent l’adorer. »
La femme lui dit :
« Je sais qu’il vient, le Messie, celui qu’on appelle Christ.
Quand il viendra, c’est lui qui nous fera connaître toutes choses. »
Jésus lui dit : « Je le suis, moi qui te parle. »
À ce moment-là, ses disciples arrivèrent ;
ils étaient surpris de le voir parler avec une femme.
Pourtant, aucun ne lui dit : « Que cherches-tu ? »
ou bien : « Pourquoi parles-tu avec elle ? »
La femme, laissant là sa cruche, revint à la ville et dit aux gens :
« Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait.
Ne serait-il pas le Christ ? »
Ils sortirent de la ville, et ils se dirigeaient vers lui.
Entre-temps, les disciples l’appelaient : « Rabbi, viens manger. »
Mais il répondit : « Pour moi, j’ai de quoi manger :
c’est une nourriture que vous ne connaissez pas. »
Les disciples se disaient entre eux :
« Quelqu’un lui aurait-il apporté à manger ? »
Jésus leur dit : « Ma nourriture, c’est de faire la volonté de Celui qui m’a envoyé
et d’accomplir son œuvre.
Ne dites-vous pas :
‘Encore quatre mois et ce sera la moisson’ ?
Et moi, je vous dis : Levez les yeux et regardez les champs déjà dorés pour la moisson.
Dès maintenant, le moissonneur reçoit son salaire :
il récolte du fruit pour la vie éternelle,
si bien que le semeur se réjouit en même temps que le moissonneur.
Il est bien vrai, le dicton :
‘L’un sème, l’autre moissonne.’ Je vous ai envoyés moissonner
ce qui ne vous a coûté aucun effort ;
d’autres ont fait l’effort, et vous en avez bénéficié. »
Beaucoup de Samaritains de cette ville crurent en Jésus,
à cause de la parole de la femme qui rendait ce témoignage :
« Il m’a dit tout ce que j’ai fait. »
Lorsqu’ils arrivèrent auprès de lui, ils l’invitèrent à demeurer chez eux.
Il y demeura deux jours.
Ils furent encore beaucoup plus nombreux à croire à cause de sa parole à lui,
et ils disaient à la femme :
« Ce n’est plus à cause de ce que tu nous as dit que nous croyons :
nous-mêmes, nous l’avons entendu, et nous savons que c’est vraiment lui
le Sauveur du monde. »
Pour télécharger la feuille d'annonces, veuillez cliquer sur le lien suivant : Dimanche 12 mars 2023

Un an de guerre en Ukraine, l’appel du Pape François
Lors de l’audience générale du mercredi 22 février, à deux jours du premier anniversaire de l’invasion de l’Ukraine, le Souverain pontife a dénoncé une «guerre absurde et cruelle» et a, une nouvelle fois, appelé à la paix.
« Une victoire construite sur des ruines ne sera jamais une véritable victoire », a déclaré François, attristé, lors de l’audience générale à deux jours du «triste anniversaire» de la guerre en Ukraine.
Le 24 février 2022, le président russe lançait l'attaque sur son voisin ukrainien. Un an plus tard, selon un bilan de la Norvège, on compte 180 000 morts ou blessés parmi les soldats russes, 100 000 côté ukrainien, dont 30 à 40 000 civils et 400 enfants. « Le bilan des morts, des blessés, des réfugiés, des personnes isolées, des destructions, des dégâts économiques et sociaux est éloquent », a commenté l’évêque de Rome, qui depuis le début de l’invasion russe, appelle incessamment à la paix.
La guerre en Ukraine restera associée à des images indélébiles, rappelle l’AFP, des cadavres de civils, certains les mains attachées dans le dos, éparpillés dans une rue de Boutcha, près de Kiev, après le retrait des forces russes en avril. Une peluche ensanglantée devant la gare de Kramatorsk, bombardée alors que des milliers de civils tentaient d'évacuer la région.
Entamer des négociations de paix
« Le Seigneur pourra-t-il pardonner autant de crimes et autant de violence ? Il est le Dieu de la paix », questionne François, avant d’inviter à rester proche du peuple ukrainien et à se demander: « A-t-on fait tout le possible pour arrêter la guerre? »
« Je lance un appel à ceux qui détiennent l'autorité sur les nations pour qu'ils fassent des efforts concrets pour mettre fin au conflit, pour parvenir à un cessez-le-feu et entamer des négociations de paix», a conclu le Saint-Père.
Actuellement, la ligne de front « active » s'étend sur 1 500 km du nord au sud dans l'est de l'Ukraine, selon le chef de l'armée ukrainienne Valery Zaloujny, cité par l’AFP. Parmi les points chauds, Bakhmout, qualifié d' «enfer sur terre» par les combattants ukrainiens, fait l'objet d'une bataille sanglante depuis l'été. Forces russes et mercenaires de Wagner y progressent, mètre par mètre, depuis quelques semaines.
Quelques milliers de civils vivent encore dans les villes bombardées, terrés dans des caves, sans eau ni électricité, dépendants de l'aide humanitaire livrée par de courageux volontaires.
Sources : Vatican News
Face aux scandales, demeurer dans l’Église
Durant ce temps de Carême, pour mieux traverser l’épreuve des scandales, l'équipe paroissiale propose chaque semaine une vidéo de 7 minutes, éditée par la communauté de l’Emmanuel.
Que vivons-nous ? Comment demeurer dans l’Église ? À quoi, à qui se raccrocher ? Comment en parler ? Comment tenir dans la foi ? Que faut-il changer ? Autant de questions que cette série de petites vidéos nous propose d’aborder pour avancer ensemble, humblement, en ce temps d’épreuves.
3ème vidéo : "S'efforcer de comprendre et se renseigner " - par Joseph Challier
Rencontres et soirée louange
Émission "Rencontres" avec Vosges TV
C'était une soirée d'hiver, et pourtant une veillée chaleureuse s'annonçait. Chaque mois, une veillée de louange est organisée en la cathédrale Saint-Dié par les jeunes professionnels et étudiants de Saint-Dié dans la cathédrale, à l'instar de Pierre-Louis Buzzi et Elsa Thouvenot. Une trentaine de personnes y ont participé. La louange : une autre façon d'exprimer sa foi.


Pèlerinage des enfants du catéchisme à Lourdes - juillet 2023

Pour télécharger le bon de commande : commande_fromages_8_avril_23_0.png (556×791)

Concert polyphonies Corse Aio Zitelli du 17 mars ANNULE

Concert polyphonies corse -Aio Zitelli du 17 mars ANNULE

Pélerinage à Lourdes


Face aux scandales, demeurer dans l'église ?
Face aux scandales, demeurer dans l’Église
Durant ce temps de Carême, pour mieux traverser l’épreuve des scandales, l'équipe paroissiale propose chaque semaine une vidéo de 7 minutes, éditée par la communauté de l’Emmanuel.
Que vivons-nous ? Comment demeurer dans l’Église ? À quoi, à qui se raccrocher ? Comment en parler ? Comment tenir dans la foi ? Que faut-il changer ? Autant de questions que cette série de petites vidéos nous propose d’aborder pour avancer ensemble, humblement, en ce temps d’épreuves.
2ème vidéo : "Rester accroché à Dieu" par Flore Barbet-Massin
Nos paroles, et nos silences...
Soirée Louange

IIe Dimanche de Carême

Chacun de nous doit
se faire pauvre intérieurement
L'évangile et la joie
Le premier est la joie. Jésus proclame: «L'Esprit du Seigneur est sur moi ; [...] il m'a envoyé porter la joyeuse nouvelle aux pauvres»(v. 18). Ainsi, a rappelé le Pape, l’on ne peut parler de Jésus sans joie. «Témoigner de Jésus, c'est entrevoir entre les lignes de sa vie d'avoir reçu un don si beau que nulle parole ne peut l'exprimer», a-t-il estimé. Au contraire, quand manque la joie, l'Évangile ne passe pas, parce qu'il est une bonne annonce, une annonce de joie. «Un chrétien triste peut parler de belles choses mais tout cela est vain si l'annonce qu'il transmet n'est pas joyeuse», a souligné le Saint-Père. Apporter la paix, non la culpabilité
Deuxième aspect évoqué par le Pape: la libération. Jésus dit qu'il a été envoyé «pour proclamer aux prisonniers la libération». Cela signifie que «celui qui annonce Dieu ne peut pas faire de prosélytisme, ne peut pas faire pression sur les autres, mais les soulager: ne pas imposer de fardeaux, mais les décharger; apporter la paix, pas la culpabilité». Bien sûr, suivre Jésus implique une ascèse, des sacrifices, a-t-il reconnu. «En revanche, celui qui témoigne du Christ montre la beauté de l’objectif, plutôt que la fatigue du parcours», a insisté François citant l’exemple prosaïque d’un beau voyage accompli et raconté seulement par le prisme de sa beauté, et non ses détails logistiques de transports
La lumière de la filiation
Troisième aspect mentionné par le Pape, la lumière. Jésus dit qu'il est venu apporter «la vue aux aveugles». Le Pape explique qu’il ne s'agit pas seulement de la vue physique, mais d'une lumière qui fait voir la vie d'une manière nouvelle. «Il y a un "retour à la lumière", une renaissance qui ne se produit qu'avec Jésus. Si nous y réfléchissons, c'est ainsi que la vie chrétienne a commencé pour nous : avec le baptême, qui dans l'Antiquité était appelé "illumination"», a observé François, assurant que la lumière donnée par Jésus est celle de la filiation. «Avec Lui, nous sommes aussi des enfants de Dieu, aimés pour toujours, malgré nos fautes et nos défauts. Alors la vie n'est plus une avancée aveugle vers le néant, elle n'est pas une questionde chance ou de destin, elle n'est pas quelque chose qui dépend du hasard ou des étoiles, ni même de la santé et des finances, mais de l'amour du Père, qui prend soin de nous, ses enfants bien-aimés»











