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Paroisse Saint-Amé-des-Trois-Vallées
Paroisse Saint-Amé-des-Trois-Vallées

La Paroisse Saint-Amé des 3 vallées regroupe les secteurs de Saint-Amé, Cleurie, Julienrupt, La Forge, le Syndicat, Vecoux et Dommartin-les-Remiremont. Elle est née le jour de la Pentecôte 2000.
Info Contact
Permanences :
le samedi matin :
- Saint-Amé : de 10 h à 11 h 30
Maison St Jean-Baptiste- 13 Rue de l'église
Tél : 03 29 61 21 32 - Julienrupt : de 10 h 30 à 11 h 30
Ancien presbytère - Salle de l'état civil
Tél : 06 71 21 41 15 - Dommartin de 10 h 30 à à 11 h 30
Maison des associations- Rue de Pont
Tél : 07 88 03 36 62 - Vecoux de 10 h 30 à 11 30
4 rue de la Cure
Tél : 06 20 87 91 87
Journal paroissial :
La Vie au pied des Monts - parution mensuelle
ANNONCES DE LA SEMAINE 5
UN COMMENTAIRE INTERESSANT SUR LA PAROLE DE DIEU
Nous voici pour quelques semaines encore dans le Temps ordinaire, avant de commencer le Carême. Finies les grandes foules de Noël ! L’assistance régulière à la messe du dimanche ne concerne plus que les aînés qui y ont été habitués dès leur jeunesse. On leur parlait de péché mortel. C’était un piètre argument de vente, qui pourtant a bien marché ! Cette justification ne convainquant plus, l’habitude s’est perdue, mais ce n’est sans doute pas la seule explication.
En ces temps de déchristianisation, la pratique dominicale régulière ne serait-elle pourtant pas plus nécessaire que jamais ? Où sommes-nous encore en contact avec la Bible, la Parole de Dieu ? Il nous reste quelques histoires célèbres, comme celle d’Adam et Ève ou du Déluge, reliquats de notre enfance. Mais aujourd’hui, quand nous allons sporadiquement à la messe, nous sommes bien perdus devant toutes ces lectures qui supposent contextualisation et interprétation.
Quelle distance en effet entre les extraits bibliques proposés et l’assemblée. Je tente bien sûr d’en expliquer le sens. Mais si les personnes n’étaient pas là le dimanche précédent et ne seront pas là le suivant, c’est un petit peu comme si on parlait de la Révolution française, sans connaître ce qui a précédé et ce qui s’ensuivra.
Le Bible est un monument littéraire et spirituel, une vision particulière du monde qui, à l’époque, tranchait avec celle des Romains ou des Grecs et, aujourd’hui, avec notre monde contemporain. Elle est le livre d’un peuple, le peuple hébreu qui a relu son histoire avec l’aide des prophètes, celui de la communauté chrétienne qui, de siècle en siècle, scrute ces pages. Il s’agit donc d’une démarche essentiellement communautaire.
Dimanche après dimanche, nous creusons ce texte pour en tirer la substantifique moelle et nous aider les uns les autres à en vivre. Le cycle de trois ans nous permet d’acquérir une belle vision d’ensemble. Et si nous n’avons pas encore tout compris, nous pouvons dire, comme le cardinal Danneels : dans trois ans, cela ira mieux ! La lecture de la Bible ne devient enrichissante que si l’on y revient sans cesse, année après année.
Depuis les origines, les premières communautés chrétiennes ont pris l’habitude de se retrouver le premier jour de la semaine, en mémoire du Ressuscité qui s’est manifesté aux disciples ce jour-là. « Il y a des communautés chrétiennes qui, malheureusement, ne peuvent pas bénéficier de la messe chaque dimanche, a pu dire le pape François lors d’une audience générale. Toutefois, ajoute-t-il, elles aussi, en ce saint jour, sont appelées à se recueillir en prière au nom du Seigneur, en écoutant la parole de Dieu et en maintenant vivant le désir de l’Eucharistie. » Le jour où il n’y aura plus de prêtres pour consacrer le pain, il restera donc la Parole et la communauté. Celles-ci seront essentielles dans un monde qui ne nous parle plus guère de Dieu.
Ne suffit-il pas de s’aimer les uns les autres pour pouvoir se dire chrétiens ? entend-on parfois. Certes, on ne peut se passer de l’amour du prochain. Mais peut-on négliger la Parole qui nous en fait percevoir les exigences et la signification profonde, et qui nous en indique la source ? Peut-on se dire chrétien sans vivre en frères et sœurs, nourris par la parole que le Christ nous adresse ? Peut-on le laisser parler sans l’écouter ?
Charles Delhez sj
UNE CONFERENCE DEBAT SUR LE JEUNE

DECES DU PERE ANDRE ROMARY
Avis de décès du P. André Romary
Nous vous annonçons le décès de l’abbé André ROMARY ce vendredi 17 janvier 2025, à l'âge de 89 ans.
André s’affaiblissait. À la suite d’une chute, il avait intégré « Les Buissons » à Xertigny. Les bons soins du personnel de la maison de retraite n’ont pas suffi à le remettre debout. Une de ses dernières paroles a été, à l’adresse de sa famille et des confrères et amis qui le visitaient, « Vos visites me nourrissent. » Au fil des semaines, André a épuisé toutes ses forces physiques. Il nous a quittés ce vendredi 17 janvier 2025.
André prévoyait de fêter ses 90 ans et ses 60 ans de sacerdoce au cours du printemps. Il les fêtera, nous en sommes sûrs, à la table du Seigneur, avec les siens déjà disparus et son ami, Mgr Didier Berthet dont il avait pleuré le décès en septembre 2023.
André avait eu l’occasion de relire les événements marquants de sa vie et de livrer le sens qu’il avait voulu donner à sa vie, le sens de ses nombreux engagements. Il résumait tout cela en trois mots : "Ma famille, l’Église… et (en haussant le ton) la Mission de France". Laissons-lui la parole.
Je crois pouvoir résumer assez facilement (mon) engagement autour de la demande actuelle du pape François : "Soyez une Église pauvre au service des plus pauvres".
Tout a commencé, si j’ose dire, par ma naissance dans une famille de petits cultivateurs pauvres : nous étions neuf enfants « nourris par une douzaine de vaches ». J’ai toujours pensé que cela était une bénédiction du ciel !
Mais pastoralement tout a commencé lorsque, après mon service militaire et quelques années chez les jésuites, le Père Poirson, alors supérieur du grand séminaire en plein Concile, de 1962 à 1965, où le Bon Pape Jean exhortait l’Eglise à s’ouvrir au monde en particulier (aux) plus pauvres. Des évêques d’Amérique Latine présents au Concile avaient bien compris ce message, et en rentrant chez eux ils vont orienter résolument leur Eglise vers la dénommée "option préférentielle pour les pauvres". J’ai alors orienté largement mes études autour de cette option évangélique, ce qui s’est terminé par un mémoire demandé par le Secours Catholique national intitulé : "Les Pauvres, sacrement du Christ ". Pour la petite histoire, j’ai gagné le 1er prix qui m’a valu un voyage à Rome.
Ordonné en 1965 par le père Vilnet, je lui ai demandé deux choses : qu’il m’envoie dans une paroisse pauvre du diocèse, ce qu’il fit en me nommant au milieu d’une population ouvrière de Fraize-Plainfaing ; puis en 1967, il me demandait de participer à la 1ère équipe d’association à la Mission de France. Or les deux priorités de la MDF sont les plus loin et les plus pauvres ce qui était, en France, la même chose.
LA 2ème chose demandée au père Vilnet : qu’il m’autorise, après quelques années dans le diocèse, à rejoindre comme prêtre Fidei donum l’Église d’Amérique Latine, ce qui fut fait en 1975, et justement, dans la 1ère équipe de Mission de France au Brésil. J’y ai vécu ce que je peux appeler les plus belles années de ma vie sacerdotale dans les milieux populaires et au service d’une Eglise qui avait fait réellement l’option des plus pauvres.
Rentré en France en 1987, dans les paroisses de Marne-la-Vallée, Neufchâteau, Épinal, Saint-Antoine-en-Vologne, j’ai essayé le plus possible de rester dans cette orientation, assurant par exemple le service des Migrants, de la prison et toujours en lien aussi avec le Secours Catholique et le C.C.F.D., attachés au service des plus pauvres ici et là-bas.
… Douze ans (entrecoupés d’une nouvelle année de mission au Brésil, dans le nord) (j’ai été) responsable de la paroisse Saint-Antoine-en-Vologne avec résidence à Cheniménil, tout en continuant ma mission à la prison d’Epinal. Cette paroisse « nouvelle » sera pour moi le « bouquet final » de ce que je considère comme le « beau feu d’artifice » de ma responsabilité pastorale comme prêtre.
Retiré dans un quartier populaire au Plateau de la Justice à Epinal, je continue d’une façon différente cette option qui a vraiment marqué mon engagement au service de la Bonne Nouvelle en Eglise, participant par exemple à l’association SOS-Prison, à l’association Solidarité Est-Etranger, Alzhaimer88, Jardins de Cocagne qui fait de l’agriculture bio avec de l’insertion.
Dans son testament, André ajoutait :
Dans ma vie, j’ai aimé le sourire des enfants, l’enthousiasme des jeunes, la bonne volonté et la collaboration des prêtres et des nombreux laïcs chrétiens dans l’Eglise, l’ardeur généreuse de nombreux militants sociaux avec qui j’ai pu travailler.
J’ai aimé aussi la beauté de la nature, celle du Val d’Ajol où je suis né, les beaux paysages, les fleurs.
En 2015, André avait rejoint la rue Cour Billot, « gardien de la maison », passionné de cinéma…Il poursuivit ses engagements aussi longtemps que ses forces le lui permirent. (André aurait pu aussi mentionner son long engagement à la Coopération Missionnaire)
Après avoir évoqué ses soucis de santé, sa chute en 2017, il concluait ainsi son récit de vie "Des Vosges aux favellas brésiliennes : aventures et belles rencontres" :
... je garde le moral. Bien plus, bien entouré par ma grande et chère famille qui m’a toujours accompagné et soutenu, par mes nombreux et fidèles amis français et brésiliens, par mes sympathiques confrères prêtres et par mon nouvel évêque depuis cinq ans, père Didier Berthet, qui d’ailleurs m’honore de son amitié fraternelle !
Tout ceci accompli, je le crois, sous le regard et grâce à la tendresse infinie du Dieu d’Amour !
Cette même foi nous réunira pour les obsèques d’André mardi prochain, 21 janvier, à 14 h 30 en l’église du Val d’Ajol.
Le père André ROMARY repose à la maison funéraire Henry, au Val-d'Ajol.
Revoir les témoignages vidéos d'André :
Paroles de nos Pères | Septembre 2018 (à 20m46)
PRIERE POUR L'UNITE DES CHRETIENS

Seigneur Jésus,
qui a prié pour que tous soient un, nous te prions pour l’unité des chrétiens,
telle que tu la veux, par les moyens que tu veux.
Que ton Esprit nous donne d’éprouver la souffrance de la séparation, de voir notre péché, et d’espérer au-delà de toute espérance,
Amen
ANNONCES DE LA SEMAINE 4

ANNONCES DE LA SEAMINE "

EPIPHANIE 5 JANVIER 2025 Vagney







QUEL EST LE SENS DE L'EPIPHANIE?
QUEL EST LE SENS DE LA FETE DE L’ÉPIPHANIE ?
Antérieure à la fête de Noël, l’Épiphanie, la « manifestation » de Dieu, est célébrée dès le IIe siècle. Certaines Églises fêtent encore ce jour-là la naissance de Jésus. Mais aussi le baptême du Christ et les noces de Cana. En Occident, on commémore l’adoration de Jésus par les mages le dimanche proche du 6 janvier. Cette année, le dimanche 5 janvier.
Par Céline Hoyeau,
Que signifie ce mot ?
Avant d’être la fête de la galette des rois, le mot « épiphanie » a un sens bien plus large. Du grec epiphaneia (manifestation), il désigne les manifestations de Dieu aux hommes (ou « théophanies »). On en trouve déjà un certain nombre dans l’Ancien Testament. Dès la Genèse (18, 1-15), « le Seigneur apparaît » à Abraham sous les traits de trois mystérieux visiteurs. Jacob combat avec l’ange de Dieu durant la nuit avant de recevoir, au matin, sa bénédiction (Gn 32). Moïse connaît deux épiphanies : au buisson ardent (Ex 3), puis sur le mont Sinaï (Ex 32-34), lorsque Dieu lui confie les tables de la Loi. Élie, à son tour, entend Dieu lui parler sur le mont Horeb dans « le murmure d’une brise légère » (1 R 19). Tandis que c’est « du sein de la tempête » qu’il s’adresse à Job (chap. 38). Plusieurs prophètes, eux aussi, ont des visions divines : notamment Isaïe, qui, dans le temple de Jérusalem, voit « le Seigneur qui siégeait sur un trône très élevé » (6, 1-2).
Dès l’Ancien Testament, Dieu veut se révéler aux hommes, mais c’est en Jésus, son Fils, qu’il se donne à voir : non plus par l’intermédiaire d’anges ou de signes, mais en prenant condition humaine. C’est ce que célèbre originellement la fête de l’Épiphanie, qui a vu le jour en Orient au VIe siècle : Dieu se donne à voir à toute l’humanité, représentée par les Mages venus du bout du monde.
À lire aussiFête de l’Épiphanie 2025 : qui étaient les Rois mages ?
Pour l’exprimer, l’évangéliste Matthieu (2, 1-12), « s’est inspiré de plusieurs textes de l’Ancien Testament qu’il a actualisés » selon le genre littéraire du ¬midrash, explique l’exégète Jesus Asurmendi, directeur du Centre pour l’intelligence de la foi (CIF) : le livre d’Isaïe, notamment, d’après lequel « tous les gens de Saba viendront, apportant l’or et l’encens et proclamant les louanges du Seigneur » (60, 1-6) ; et le livre des Nombres dans lequel un païen, Balaam, prophétise que « de Jacob monte une étoile, d’Israël surgit un sceptre » (24, 17).
Par ailleurs, le titre de « roi des Juifs », par lequel les Mages désignent le nouveau-né, réapparaîtra dans la bouche de Pilate lors du procès de Jésus : « La manifestation de Jésus aux Mages est ainsi le commencement et le germe de la manifestation plénière qui se déploiera dans la mort et la résurrection du Christ », souligne dans une homélie le frère Gabriel, moine de Cîteaux.
► Que célèbre-t-on à l’Épiphanie ?
Aux premiers siècles, les chrétiens célébraient le 6 janvier, date approximative du solstice d’hiver, l’ensemble des premières « manifestations » de la divinité de Jésus : la Nativité, l’adoration des Mages, le baptême dans le Jourdain et les noces de Cana (premier miracle, signe de la puissance de Dieu). Cette fête « synthétique » existe toujours dans l’Église arménienne.
Ailleurs, une dissociation s’est opérée entre le 6 janvier et le 25 décembre, date plus précise du solstice : ainsi, les catholiques fêtent la Nativité le 25 décembre, l’adoration des Mages, le 6 janvier, le baptême du Christ, le dimanche suivant, et les noces de Cana le dimanche qui suit encore. La liturgie occidentale a toutefois conservé la mémoire de l’unité de ces trois événements dans l’antienne des vêpres de l’Épiphanie : « Nous célébrons trois mystères en ce jour, indique-t-elle. Aujourd’hui l’étoile a conduit les Mages vers la crèche ; aujourd’hui l’eau fut changée en vin aux noces de Cana ; aujourd’hui le Christ a été baptisé par Jean dans le Jourdain pour nous sauver, alléluia. »
À lire aussiY a-t-il plusieurs dates pour l’Épiphanie ?
« Étonnamment, souligne le dominicain québécois Yvon Pomerleau, l’Occident a retenu le mot “épiphanie” pour l’adoration des Mages, alors que la manifestation de l’origine divine de Jésus est plus évidente lors de son baptême dans le Jourdain, lorsque retentit la voix du Père : “Voici mon fils bien aimé” ». En Occident, l’adoration des Mages a, de fait, pris une ampleur considérable et s’est enrichie de nombreux éléments de folklore au cours des siècles. Si l’Évangile donne très peu de détails sur eux, les apocryphes et la Tradition ont comblé ces silences (lire La Croix du 6 janvier 2018).
Mais en Orient, les Églises insistent toujours sur le baptême de Jésus et la manifestation du Dieu Trinité, lors de l’Épiphanie. Cela explique pourquoi, pendant longtemps, comme le rappelait Olivier Clément dans La Croix du 3 janvier 1998, on a baptisé les catéchumènes à la veille de cette fête.
Encore aujourd’hui, « en Orient, une procession se dirige vers la rivière la plus proche, dont on brise la glace s’il le faut, ou vers la mer, et le prêtre jette une croix que de courageux garçons plongent pour repêcher ! Mais le sens baptismal est perdu : l’eau bénite est bue ou soigneusement gardée pour “la purification de l’âme et du corps, la sanctification de la maison et tout usage bon” ».
► Quel sens a cette fête ?
La tradition chrétienne a déployé pour cet épisode évangélique un grand nombre d’interprétations. Les cycles de fresques consacrées aux Mages à Bologne et à Florence donnent une idée de cette richesse de sens, selon le frère Pomerleau, qui collectionne des centaines de représentations des Mages. « Chaque tableau évoque une dimension du cheminement chrétien, détaille-t-il : l’observation des astres nous parle de la quête de sens ; la cavalcade des Mages du cheminement, de l’engagement dans la vie chrétienne comme suite de Jésus ; la rencontre avec Hérode, des deux modèles de royauté et de la tentation qui menace tout chrétien face au pouvoir. La consultation des sages et des savants souligne l’importance de l’Écriture dans la recherche spirituelle ; l’adoration des Mages, celle de la contemplation. Le retour par bateau indique que la rencontre avec Dieu entraîne un changement de route, une conversion toujours nécessaire… »
L’adoration de Jésus par des mages « venus d’Orient » souligne fondamentalement l’universalité du message du Christ et du salut qu’il apporte. « Quand Matthieu écrit son Évangile, vers la fin du Ier siècle, note le père Jean-Luc Garin (La Croix du 2 janvier 2010), nombreux sont les croyants issus du paganisme à demander le baptême pour devenir disciples du Christ. Les étapes suivies par les Mages semblent résumer la route de la foi de ces nouveaux croyants. »
« Avant-coureurs pour les chercheurs de Dieu de toutes les générations », ils nous invitent, selon lui, à « être nous-mêmes attentifs aux humbles et discrètes épiphanies de Dieu dans notre vie ».
Aujourd’hui, ajoute le père Asurmendi, ce texte est aussi une « confirmation que la foi chrétienne est structurellement ouverte à l’autre » : « Ce sont les bergers, considérés à l’époque comme des voleurs, et les Mages, des étrangers, qui, les premiers, ont accueilli Jésus. Symbole du renversement des valeurs apporté par le Christ. »
ANNONCES DE LA SEMAINE 2









