Dimanche de la santé, messe à 10h30 à Saint-Amé. Au cours de cette messe, il sera possible de déposer une intention personnelle de prière pour un malade, un aidant ou un soignant.
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Paroisse Saint-Amé-des-Trois-Vallées
Paroisse Saint-Amé-des-Trois-Vallées

La Paroisse Saint-Amé des 3 vallées regroupe les secteurs de Saint-Amé, Cleurie, Julienrupt, La Forge, le Syndicat, Vecoux et Dommartin-les-Remiremont. Elle est née le jour de la Pentecôte 2000.
Info Contact
Permanences :
le samedi matin :
- Saint-Amé : de 10 h à 11 h 30
Maison St Jean-Baptiste- 13 Rue de l'église
Tél : 03 29 61 21 32 - Julienrupt : de 10 h 30 à 11 h 30
Ancien presbytère - Salle de l'état civil
Tél : 06 71 21 41 15 - Dommartin de 10 h 30 à à 11 h 30
Maison des associations- Rue de Pont
Tél : 07 88 03 36 62 - Vecoux de 10 h 30 à 11 30
4 rue de la Cure
Tél : 06 20 87 91 87
Journal paroissial :
La Vie au pied des Monts - parution mensuelle
DIMANCHE DE LA SANTE
UN ART DE VIVRE EN CHRETIENS
UN ART DE VIVRE EN CHRÉTIENS
À tous les fidèles de l'Église catholique dans les Vosges
« Ils étaient assidus à l’enseignement des Apôtres et à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières...
Chaque jour, d’un même cœur, ils fréquentaient assidûment le Temple, ils rompaient le pain dans les maisons,
ils prenaient leur repas avec allégresse et simplicité de cœur ; ils louaient Dieu et avaient la faveur du Peuple tout entier ».
(Ac 2, 42-43 ; 46-47)
Chers frères et sœurs,
En plaçant ce passage des Actes des Apôtres en exergue de sa feuille de route de nos assises diocésaines, Mgr Didier Berthet voulait rappeler la force d’exemple et d’inspiration de la première communauté chrétienne à Jérusalem. Il voulait surtout inviter au renouvellement de nos communautés : qu’elles entreprennent un chemin de conversion pastorale afin d’être toujours davantage « des communautés selon l’Évangile » engagés dans la mission.
Lorsqu’il a ouvert ces Assises, il ne s’imaginait pas les directions qu’elles prendraient, pas plus qu’il ne pouvait imaginer que le jour de leur ouverture serait aussi celle du Synode sur la synodalité souhaité par le pape François. Huit mois après son décès, la rencontre du 3 mai dernier marquait le terme du chemin initié par Mgr Berthet, mais un terme paradoxal, moins en forme de point final que de porte ouverte, à l’image de l’ultime session du synode en octobre dernier.
Nous en avons fait l’expérience lors de ces Assises : l’enjeu de la synodalité est de ‘marcher ensemble’ à l’écoute de l’Esprit Saint, qui nous rejoint dans la Parole de Dieu et celle des autres si nous savons mettre nos propres attentes ou projets au second plan. Nous avons peut-être aussi la sensation d’avoir fait l’expérience, comme pour le Synode romain, d’un travail qui ne ‘produit rien’. Est-ce à dire qu’il ne s’est rien passé ? Bien des participants au Synode comme à nos Assises sont témoins du contraire !
Ce qui a pu être vécu lors de ces rencontres est de l’ordre de la relation, donc de l’être. Mais cela a aussi rejailli ici ou là sur nos réalités locales, en aidant à discerner pour mieux agir. Différentes méthodes ont été expérimentées – en particulier la ‘conversation dans l’Esprit’. Un accent a aussi été porté sur la ‘relecture’ qui aide à découvrir a posteriori la trace du passage du Seigneur dans nos vies. Une place importante importante a été laissée au silence sans lequel nous ne pouvons écouter la Parole que Dieu nous adresse dans l’Écriture, à travers les autres, à travers les événements.
Au final, rien de très nouveau ; cette triple écoute est en effet au cœur de la vie de l’Église depuis les origines. Mais c’est bien là que se trouve sa nouveauté ! Rien de plus vite démodé que ce qui est à la mode. La Parole de Dieu, elle, est éternellement jeune, toujours nouvelle.
Les méthodes mises en œuvre pendant ces travaux passeront, la manière de le faire aussi. Ce qui demeure, c’est l’accent mis pour chacun de nous à rechercher cet ‘art de vivre en chrétiens’ où grandit sans relâche l’attention et l’écoute à la Parole que Dieu, inlassablement, nous dit.
Dans l’attente d’un évêque pour notre diocèse, continuons à ‘marcher ensemble’ pour que nos communautés vivent ‘selon l’Évangile’ ! Ne nous lassons pas de discerner ensemble ce à quoi l’Esprit nous appelle pour répondre à nos questions... et à celles que nous ne nous posons pas. Individuellement et dans nos communautés, nous sommes tous appelés à faire un pas de plus sur ce chemin de conversion : c’est ainsi que se renouvelle l’Église pour répondre à l’urgence de la mission aujourd’hui.
Je tiens à remercier les personnes qui ont répondu à nos consultations, celles qui se sont engagées dans les communautés locales pour porter ce cheminement synodal ou qui ont animé, porté et encouragé ce travail pour que nos communautés soient toujours davantage « des communautés selon l’Évangile ».
« Oui, un enfant nous est né, un fils nous a été donné ! » nous rappelait le prophète Isaïe lors de la nuit de Noël ; « son nom est proclamé : Conseiller-merveilleux, Dieu-Fort, Père-à-jamais, Prince-de-la-Paix ». Puisse cette lumière et cette joie nous accompagner, pèlerins d’espérance, tout au long de cette année !
Avec le collège des consulteurs.
Abbé Denis Beligné
Administrateur diocésain
1er février 2025

Timeline des Assises « Des communautés selon l'Évangile »
Étape 0 : Ouverture des assises 2021
Samedi 9 octobre 2021 – Lancement des assises diocésaines lors de la session de rentrée, par Mgr Berthet.
Étape 1 : Temps des consultations
De novembre 2021 à janvier 2022 – Consultation large des catholiques vosgiens, avec le carnet de route des assises.
Étape 2 : Temps des assemblées
26 février et 14 mai 2022 – Deux assemblées diocésaines avec 70 ambassadeurs issus des paroisses, services et mouvements sur les « 5 essentiels » et les « 4 lieux ».
Étape 3 : Poursuivre le travail
23 septembre 2022 – « Artisans de communion », Mgr Berthet renonce à la rédaction d'une exhortation pastorale et impulse un temps d'appropriation local.
Étape 4 : La vie dans nos territoires
De septembre 2022 à aujourd'hui – Appropriation des communautés locales à partir de l'Almanach des assises.
Automne 2023
Rejoints par l’enjeu du discernement communautaire, la conversation dans l’Esprit est expérimentée sur 4 lieux du diocèse avec près de 120 personnes (Vittel, Saint-Dié, Épinal, Remiremont).
Vendredi 3 mai 2024
Session de rentrée de printemps à Gérardmer « Cap vers le L.A.C. », pour faire un pas de plus dans la dynamique de nos assises et inviter à vivre le discernement communautaire dans nos communautés locale à partir de la conversation dans l’Esprit..
Prière diocésaine
En toi Seigneur est notre espérance,
pour chacun de nous et pour nos communautés :
Jésus, ‘Conseiller-merveilleux’, accorde-nous
« de discerner quelle est la volonté de Dieu :
ce qui est bon, ce qui est capable de lui plaire, ce qui est parfait »
Jésus, ‘Dieu-Fort’, tu te livres à nous dans la fragilité de la chair,
donne-nous de te reconnaître, de t’aimer et de te servir
en chacun de ces petits qui sont tes frères ;
tu te donnes à nous dans l’humilité de l’eucharistie,
nous voulons te célébrer, t’adorer et te recevoir en nourriture pour notre chemin ici-bas.
Jésus, ‘Père-à-jamais’, en toi nous découvrons le visage du Père.
Donne-nous de refléter son amour en qui nous avons la vie en abondance.
Jésus, ‘Prince-de-la-Paix’, accorde à notre monde
la paix dans la justice et la sécurité véritables.
Regarde cette terre que tu as aimée, défigurée par la haine et la guerre.
Regarde ces peuples sans espoir et sans avenir, toutes ces personnes sur le chemin de l’exil.
Fais de nous, là où nous sommes, des artisans de paix !
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PRIERE DU DIMANCHE

Seigneur, en ces temps difficiles, réveille en nous l’Espérance
Sauve-nous de l’accablement et du découragement
qui sont les poisons de nos cœurs.
Guéris-nous de l’habitude et de la résignation.
Redonne-nous le désir du premier jour
et l’ardeur du premier amour.
Dans nos cœurs d’hommes, verse la vigueur de ton cœur de Dieu
et fais en nous le plein d’amour.
Donne-nous la grâce de l’attente et celle du désir.
Amen
ANNONCES DE LA SEMAINE 6

La Présentation de Jésus JESUS LUMIERE DU MONDE
par la présentation de Jésus au temple, Marie et Joseph accomplissent ce que tous les parents d’un fils premier-né faisaient en Palestine à l’époque. Une manière de remercier Dieu pour le don de la vie de cet enfant. Et nous aussi à notre époque, nous recevons des gestes, des paroles pour nous aider à rencontrer, remercier, célébrer le Seigneur.
Le vieux Syméon voit enfin celui qu’il avait tant attendu. Il voit que Dieu venu vivre parmi les êtres humains, qui a choisi le même chemin, pas simple, que nous: naître, grandir, apprendre, aimer, mourir... Mais comme Jésus est la lumière du monde, dit Syméon, il va nous éclairer, surtout quand nous vivons des moments difficiles! Le Seigneur sait si bien nous aider, car il a tout vécu, bonheurs et difficultés. Il en a fait l’expérience.
Une prière: Seigneur, soit notre lumière. Aide-nous à passer à travers les difficultés en continuant à espérer, à aimer et à croire que tu es avec nous, toujours.
Une action: allumer une bougie (sous le contrôle d’un adulte) et dire à Dieu qu’il est notre lumière.
Diacre Luc AERENS
LES PIEDS DANS LA BIBLE
MESSES ET BENEDICTION DES CIERGES

MEDITATION DE L'Evangile du JOUR
Évangile du jour
Marc 4, 1-20
Écouter l'évangile
En ce temps-là, Jésus se mit de nouveau à enseigner au bord de la mer de Galilée. Une foule très nombreuse se rassembla auprès de lui, si bien qu’il monta dans une barque où il s’assit. Il était sur la mer, et toute la foule était près de la mer, sur le rivage. Il leur enseignait beaucoup de choses en paraboles, et dans son enseignement il leur disait : « Écoutez ! Voici que le semeur sortit pour semer. Comme il semait, du grain est tombé au bord du chemin ; les oiseaux sont venus et ils ont tout mangé. Du grain est tombé aussi sur du sol pierreux, où il n’avait pas beaucoup de terre ; il a levé aussitôt, parce que la terre était peu profonde ; et lorsque le soleil s’est levé, ce grain a brûlé et, faute de racines, il a séché. Du grain est tombé aussi dans les ronces, les ronces ont poussé, l’ont étouffé, et il n’a pas donné de fruit. Mais d’autres grains sont tombés dans la bonne terre ; ils ont donné du fruit en poussant et en se développant, et ils ont produit trente, soixante, cent, pour un. » Et Jésus disait : « Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende ! »
Quand il resta seul, ceux qui étaient autour de lui avec les Douze l’interrogeaient sur les paraboles. Il leur disait : « C’est à vous qu’est donné le mystère du royaume de Dieu ; mais à ceux qui sont dehors, tout se présente sous forme de paraboles. Et ainsi, comme dit le prophète : Ils auront beau regarder de tous leurs yeux, ils ne verront pas ; ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles, ils ne comprendront pas ; sinon ils se convertiraient et recevraient le pardon. » Il leur dit encore : « Vous ne saisissez pas cette parabole ? Alors, comment comprendrez-vous toutes les paraboles ? Le semeur sème la Parole. Il y a ceux qui sont au bord du chemin où la Parole est semée : quand ils l’entendent, Satan vient aussitôt et enlève la Parole semée en eux. Et de même, il y a ceux qui ont reçu la semence dans les endroits pierreux : ceux-là, quand ils entendent la Parole, ils la reçoivent aussitôt avec joie ; mais ils n’ont pas en eux de racine, ce sont les gens d’un moment ; que vienne la détresse ou la persécution à cause de la Parole, ils trébuchent aussitôt. Et il y en a d’autres qui ont reçu la semence dans les ronces : ceux-ci entendent la Parole, mais les soucis du monde, la séduction de la richesse et toutes les autres convoitises les envahissent et étouffent la Parole, qui ne donne pas de fruit. Et il y a ceux qui ont reçu la semence dans la bonne terre : ceux-là entendent la Parole, ils l’accueillent, et ils portent du fruit : trente, soixante, cent, pour un. »
Méditation
Frère François-Dominique Charles
Frère François-Dominique Charles
Couvent Sainte-Marie-du-Chêne à Nancy
Bêchons et arrosons !
Écouter la méditation
La parabole du semeur insiste sur la terre qui reçoit la semence. Sommes-nous de la bonne terre ou un sol pierreux et résistant à l’accueil de la Parole de Dieu ? Notre sol est-il en friche, couvert de ronces et de mauvaises herbes, si difficile à arracher ? Quels efforts faisons-nous pour rendre notre terre fertile et accueillante à la Parole semée ? Mettons-nous au travail, comme ceux qui bêchent et arrosent leur jardin. Le jardinier peine et sue pour obtenir des beaux légumes : il oublie ses efforts et se réjouit quand il voit ses tomates, ses haricots, ses aubergines, ses courgettes, ses poireaux… et ses fleurs ! Aujourd’hui, Jésus veut que nous prenions soin de notre propre terre. Si nous ne persévérons pas pour enlever les pierres qui encombrent notre cœur, la Parole entendue ne pourra pas germer et produire du fruit en nous. Quant à la nécessaire eau de la grâce du Saint-Esprit, elle ne pourra pas s’infiltrer pour féconder notre jardin.
Si chacun travaille son petit lopin de terre, l’Église tout entière deviendra un beau jardin, une terre fertile et réceptrice à la Parole semée abondamment par Dieu : l’évangélisation commence par l’enracinement de cette Parole dans chacun de nos cœurs. Alors nous porterons du fruit, comme Marie qui accueillit la Parole de l’ange et porta un fruit béni, selon les mots mêmes d’Élisabeth : « le fruit de tes entrailles est béni ! » Imaginons l’Église comme ces jardins de curé bien entretenus et si beaux qui, dans les presbytères de jadis, était admirés par tous, paroissiens ou non. Et les curés offraient leurs tomates aux passants, comme l’Église doit offrir largement les dons de Dieu à ceux et celles qui ont soif d’une parole de vie.
ANNONCES DE LA SEMAINE 5

UN COMMENTAIRE INTERESSANT SUR LA PAROLE DE DIEU
Nous voici pour quelques semaines encore dans le Temps ordinaire, avant de commencer le Carême. Finies les grandes foules de Noël ! L’assistance régulière à la messe du dimanche ne concerne plus que les aînés qui y ont été habitués dès leur jeunesse. On leur parlait de péché mortel. C’était un piètre argument de vente, qui pourtant a bien marché ! Cette justification ne convainquant plus, l’habitude s’est perdue, mais ce n’est sans doute pas la seule explication.
En ces temps de déchristianisation, la pratique dominicale régulière ne serait-elle pourtant pas plus nécessaire que jamais ? Où sommes-nous encore en contact avec la Bible, la Parole de Dieu ? Il nous reste quelques histoires célèbres, comme celle d’Adam et Ève ou du Déluge, reliquats de notre enfance. Mais aujourd’hui, quand nous allons sporadiquement à la messe, nous sommes bien perdus devant toutes ces lectures qui supposent contextualisation et interprétation.
Quelle distance en effet entre les extraits bibliques proposés et l’assemblée. Je tente bien sûr d’en expliquer le sens. Mais si les personnes n’étaient pas là le dimanche précédent et ne seront pas là le suivant, c’est un petit peu comme si on parlait de la Révolution française, sans connaître ce qui a précédé et ce qui s’ensuivra.
Le Bible est un monument littéraire et spirituel, une vision particulière du monde qui, à l’époque, tranchait avec celle des Romains ou des Grecs et, aujourd’hui, avec notre monde contemporain. Elle est le livre d’un peuple, le peuple hébreu qui a relu son histoire avec l’aide des prophètes, celui de la communauté chrétienne qui, de siècle en siècle, scrute ces pages. Il s’agit donc d’une démarche essentiellement communautaire.
Dimanche après dimanche, nous creusons ce texte pour en tirer la substantifique moelle et nous aider les uns les autres à en vivre. Le cycle de trois ans nous permet d’acquérir une belle vision d’ensemble. Et si nous n’avons pas encore tout compris, nous pouvons dire, comme le cardinal Danneels : dans trois ans, cela ira mieux ! La lecture de la Bible ne devient enrichissante que si l’on y revient sans cesse, année après année.
Depuis les origines, les premières communautés chrétiennes ont pris l’habitude de se retrouver le premier jour de la semaine, en mémoire du Ressuscité qui s’est manifesté aux disciples ce jour-là. « Il y a des communautés chrétiennes qui, malheureusement, ne peuvent pas bénéficier de la messe chaque dimanche, a pu dire le pape François lors d’une audience générale. Toutefois, ajoute-t-il, elles aussi, en ce saint jour, sont appelées à se recueillir en prière au nom du Seigneur, en écoutant la parole de Dieu et en maintenant vivant le désir de l’Eucharistie. » Le jour où il n’y aura plus de prêtres pour consacrer le pain, il restera donc la Parole et la communauté. Celles-ci seront essentielles dans un monde qui ne nous parle plus guère de Dieu.
Ne suffit-il pas de s’aimer les uns les autres pour pouvoir se dire chrétiens ? entend-on parfois. Certes, on ne peut se passer de l’amour du prochain. Mais peut-on négliger la Parole qui nous en fait percevoir les exigences et la signification profonde, et qui nous en indique la source ? Peut-on se dire chrétien sans vivre en frères et sœurs, nourris par la parole que le Christ nous adresse ? Peut-on le laisser parler sans l’écouter ?
Charles Delhez sj
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