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André Boucher, martyr vosgien béatifié avec ses 49 compagnons

Béatification | Samedi 13 décembre 2025 | Paris

Le 20 juin 2025, le pape Léon XIV a signé un décret du dicastère des Causes des saints reconnaissant le martyre de 50 Français morts par haine de leur foi ("in odium fidei") sous le régime nazi en 1944 et 1945.  Parmi ces 50 martyrs, un vosgien : André Boucher (prononcer "Bouchère"), alias frère Xavier de l'Ordre franciscain des frères mineurs. 
Ils seront béatifiés le samedi 13 décembre 2025 à 14h30 en la cathédrale Notre-Dame de Paris, la célébration sera présidée par le cardinal Jean-Claude Hollerich, archevêque de Luxembourg (délégué de Sa Sainteté le Pape Léon XIV) et avec la présence de Mgr François Gourdon, évêque de Saint-Dié. 


Le nom des 50
martyrs béatifiés
   Qui est André Boucher,
fr Xavier ofm  ?

Vivre la béatification à Paris
et dans les Vosges
     « Talents de Frères » avec Catherine,
nièce d'André Boucher


 

50 martyrs morts en haine de la foi


© Atelier des Palmar / Diocèse de Paris

Ils sont cinquante martyrs à avoir été reconnus comme tel par l'Église catholique romaine par décret du 20 juin 2025. Ils font partie des milliers de jeunes chrétiens volontaires qui ont répondu à l'appel de l'Église, pour accompagner, assister humainement et spirituellement les centaines de milliers de jeunes hommes contraints de se rendre en Allemagne, pour « participer à l'effort de guerre » du IIIème Reich.

Déjà, le 15 décembre 1942, 300 000 ouvriers allemands supplémentaires avaient été versés dans l'armée, pour répondre aux nécessités de la guerre. En conséquence, dès le début de l'année 1943, les nazis exigèrent qu'en plus des 240 000 ouvriers français déjà au travail en Allemagne, 250 000 autres les rejoignent rapidement. Devant la difficulté de réunir un tel contingent de volontaires, l'État français instaura le Service du Travail Obligatoire le 16 février 1943 – ce « STO » devait mobiliser pour deux ans les jeunes, ouvriers ou étudiants, nés entre 1920 et 1922.
Sans aucune protection ni assistance, les jeunes ouvriers français furent l'objet de l'attention pastorale du Cardinal Emmanuel Suhard, archevêque de Paris, assisté de l'abbé Jean Rodhain, qui lança un appel pressant aux évêques de France, aux supérieurs religieux, aux mouvements d'Action Catholique, les invitant à envoyer de jeunes catholiques prêts à exercer un apostolat fraternel et clandestin auprès des jeunes-Français du STO, car les prêtres allemands étaient interdits d'apostolat auprès des Français, et les évêques français étaient dans l'impossibilité d'envoyer officiellement des aumôniers aux ouvriers du STO.

De nombreux jeunes catholiques répondirent généreusement à l'appel du Cardinal Suhard. Ainsi, la « Mission Saint-Paul » s'est constituée de prêtres diocésains, religieux, séminaristes, scouts et militants de l'Action Catholique. Leur élan de générosité fut durement mis à l'épreuve lorsque l'Office Central de la Sûreté du Reich publia l'« ordonnance Kaltenbrunner » le 3 décembre 1943. Ce fut un véritable décret de persécution contre « les activités de l'Action catholique française parmi les travailleurs civils français en Allemagne » contre tous ceux qui exerçaient des activités religieuses au profit de travailleurs civils français.
Ces Serviteurs de Dieu – qui ne représentent qu'une partie des « apôtres clandestins » – furent arrêtés, souvent torturés, certains massacrés, d'autres moururent de faim, victimes du typhus ou d'autres maladies liées à leur incarcération, d'autres enfin moururent au cours de l'infernale « marche de la mort », lorsque les nazis, face à l'avancée de l'Armée rouge, tentèrent d'évacuer les prisonniers des camps de concentration.


Le nom des 50 martyrs (classés selon le camp de concentration où ils furent amenés à terminer leur vie)

Ordre Franciscain des Frères Mineurs :

  • Gérard Cendrier ; né à Paris (Diocèse de Paris) le 16/06/1920, entré au noviciat franciscain en 1939, ordonné prêtre, mort à Buchenwald le 25/01/1945 ;
  • Paul Le Ber ; né à Landivisiau (Finistère – Diocèse de Quimper et Léon) le 1/04/1920, ordonné prêtre, mort à Buchenwald le 13/04/1945 ;
  • Joseph Paraire ; né à Vincennes (Val-de-Marne – Diocèse de Créteil) le 2/12/1919, ordonné prêtre, interné à Buchenwald et mort dans un « train de la mort » le 26/04/1945 ;
  • André Boucher ; né à Cheniménil (Vosges – Diocèse de Saint-Dié) le 3/08/1920, ordonné prêtre, mort à Buchenwald le 15/03/1945 ;

Prêtres diocésains :

  • Louis Doumain ; né à Morainville (Canada – Diocèse d’Edmonton au Canada) le 7/02/1920, ordonné prêtre pour le diocèse de Viviers, mort au camp de concentration de Zöschen le 20/12/1944 ;
  • Pascal Vergez ; né à Aucun (Hautes-Pyrénées – Diocèse de Tarbes) le 17/03/1910, ordonné prêtre pour le diocèse de Tarbes, mort au camp de concentration de Zöschen le 12/12/1944 ;
  • Pierre de Porcaro ; né à Dinan (Côtes-d’Armor – Diocèse de Saint-Brieuc) le 10/08/1904, ordonné prêtre pour le diocèse de Versailles, mort au camp de concentration de Dachau le 12/03/1945 ;
  • René Giraudet ; né à Luçon (Vendée – Diocèse de Luçon) le 4/12/1907, ordonné prêtre pour le diocèse de Luçon, interné au camp de concentration de Bergen-Belsen. Atteint du typhus, il meurt à Paris le 12/06/1945 ;
  • Jean Batiffol ; né à Paris (Diocèse de Paris) le 10/04/1907, ordonné prêtre pour le diocèse de Paris en 1938, mort au camp de concentration de Mauthausen le 8/05/1945.
  • Raimond Cayré ; né à Puylaurens (Tarn – Diocèse d’Albi) le 23/12/1915, ordonné prêtre pour le diocèse d’Albi en 1940, mort au camp de concentration de Buchenwald le 22 ou le 24 octobre 1944 ;
  • Jules Grand ; né à Saint-Julien-Chapteuil (Haute-Loire – Diocèse du Puy-en-Velay) le 4/11/1905, ordonné prêtre pour le diocèse du Puy, mort au camp de concentration de Buchenwald le 16/01/1945 ;
  • Maurice Rondeau ; né à Neuvy (Marne – Diocèse de Châlons-en-Champagne) le 25/08/1911, ordonné prêtre pour le diocèse de Meaux, interné à Buchenwald, mort à l’hôpital bavarois de Cham le 3/08/1945 ;
  • Antoine Charmet ; né à Saint-Martin-de-la-Plaine (Loire – Diocèse de Saint-Étienne) le 29/12/1906, ordonné prêtre pour le diocèse de Lyon, mort au camp de concentration de Buchenwald fin mars ou début avril 1945 ;

Scouts de France :

  • Bernard Perrin ; né à Lyon (Rhône – Diocèse de Lyon) le 20/02/1921, interné à Mauthausen, mort à Gusen le 22/04/1945 ;
  • Eugène Lemoine ; né à Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor – Diocèse de Saint-Brieuc) le 6/01/1920, mort à Zöschen le 8/02/1945 ;
  • Robert Beauvais ; né à Paris (Diocèse de Paris) le 5/10/1922 et mort à Neuengamme le 10/01/1945 ;
  • Joël Anglès d’Auriac ; né à Toulon (Var – Diocèse de Toulon) le 25/07/1922, arrêté le 10/03/1944 et décapité à Dresde ;
  • Louis Didion ; né à Dunkerque (Nord – Diocèse de Lille) le 2/05/1917, mort à Buchenwald le 16/02/1945 ;
  • Robert Saumont ; né à Oissel (Seine-Maritime – Diocèse de Rouen) le 18/01/1919, mort d’épuisement à Buchenwald lors de l’évacuation du camp le 9/04/1945 ;
  • Bernard Morizot ; né à Avallon (Yonne – Diocèse de Sens) le 2/04/1924, interné à Buchenwald et exécuté le 20/04/1945 ;
  • Jean Bernier ; né à Haironville (Meuse – Diocèse de Verdun) le 24/01/1920, mort d’épuisement à l’hôpital d’Emmendingen le 16/06/1945 après l’évacuation du camp ;
  • René Boitier ; né à Faremoutiers (Seine-et-Marne – Diocèse de Meaux) le 8/03/1917, marié le 25 mars 1940, mort d’épuisement à Dachau deux jours après l’évacuation du camp le 29/04/1945 ;
  • Robert Défossez ; né à Cambrai (Nord – Diocèse de Cambrai) le 3/06/1920, interné à Buchenwald, mort le 17/01/1945 ;
  • Jean Préhu ; né à Laval (Mayenne – Diocèse de Laval) le 27/03/1920, mort à Dachau 27/04/1945 ;
  • Maurice-Philippe Bouchard ; né à Nantes (Loire-Atlantique – Diocèse de Nantes) le 7/03/1916, interné à Buchenwald, mort le 12/04/1944 dans un « convoi de la mort » ;
  • Raymond Louveaux ; né à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis – Diocèse de Saint-Denis) le 12/04/1913, marié en 1936, interné à Buchenwald, mort le 18/04/1944 dans un « convoi de la mort » ;
  • Gaston Raoult ; né au Havre (Seine-Maritime – Diocèse du Havre) le 9/12/1921, mort d’épuisement à la mine de potasse de Bad Salzungen le 16/01/1945 ;

Jeunesse Ouvrière Chrétienne :

  • Claude-Colbert Lebeau ; né à Paizay-le-Sec (Vienne – Diocèse de Poitiers) le 23/10/1922, mort à Zöschen le 3/01/1945 ;
  • Jean Chavet ; né à Saint-Étienne (Loire – Diocèse de Saint-Étienne) le 10/08/1922, mort du typhus à Mauthausen le 24/04/1945 ;
  • André Parsy ; né à Roubaix (Nord – Diocèse de Lille) le 24/12/1922, mort à Trebitz le 26/12/1944 ;
  • André Vallée ; né à Mortagne-au-Perche (Orne – Diocèse de Séez) le 9/11/1919, mort au camp de concentration de Flossenbürg le 15/02/1945 ;
  • Henri Marrannes ; né à Ferrières-la-Verrerie (Orne – Diocèse de Séez) le 27/06/1923, mort à Zwickau le 4/04/1945 ;
  • Louis Pourtois ; né à Besançon (Doubs – Diocèse de Besançon) le 25/05/1919, mort à Mauthausen le 20/04/1945 ;
  • Camille Millet ; né à Vertus (Marne – Diocèse de Châlons-en-Champagne) le 20/02/1922, mort à Flossenbürg le 15/04/1945 ;
  • Marcel Carrier ; né à Paris (Diocèse de Paris) le 29/04/1922, marié en août 1940, mort à Neustadt-sur-Tachau le 6/05/1945 lors de la « marche de la mort » ;
  • Alfredo Dall’Oglio ; né à Borgo Valsugana (Italie – Diocèse de Trente en Italie) le 6/07/1921, mort à Berlin-Wühleide le 31/10/1944 ;
  • Marcel Touquet ; né à Péret-Bel-Air (Corrèze – Diocèse de Tulle) le 10/10/1914, marié en octobre 1942, interné au camp à Ravensbrück et mort le 24/02/1945 lors d’un « convoi de la mort » ;
  • Lucien Croci ; né à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis – Diocèse de Saint-Denis) le 15/11/1919, mort à Barth le 27/03/1945 ;
  • Jean Mestre ; né à Paris (Diocèse de Paris) le 14/07/1924, mort à Brunswick le 5/05/1944 ;
  • Jean Perriolat ; né à Romans (Drôme – Diocèse de Valence) le 12/06/1920, mort à Mauthausen le 14/04/1945 ;
  • René Rouzé ; né à Bombon-Mormant (Seine-et-Marne – Diocèse de Meaux) le 11/01/1922, mort au camp de concentration de Dora-Mittelbau le 18/02/1945 ;
  • Henri Euzenat ; né à Blesme (Marne – Diocèse de Châlons-en-Champagne) le 6/09/1920, mort au camp de concentration de Dachau le 25/04/1945 ;
  • Jean Lépicier ; né à Feneu (Maine-et-Loire – Diocèse d’Angers) le 23/04/1921, mort à Buchenwald le 20/03/1945 ;
  • Bernard Lemaire ; né à Gonneville-la-Mallet (Seine-Maritime – Diocèse du Havre) le 27/07/1920, mort à Buchenwald le 11/10/1944 ;
  • Maurice Grandet ; né au Havre (Seine-Maritime – Diocèse du Havre) le 3/04/1920, mort à Buchenwald le 12/10/1944 ;
  • René Ponsin ; né à Cœuvres-et-Valsery (Aisne – Diocèse de Soissons) le 30/09/1923, exécuté à Buchenwald le 4/04/1945 ;

Compagnie de Jésus :

  • Victor Dillard ; né à Blois (Loir-et-Cher – Diocèse de Blois) le 24/12/1897, ordonné prêtre, mort au camp de concentration de Dachau le 12/01/1945 ;

Séminaristes :

  • Roger Vallée ; né à Mortagne-au-Perche (Orne – Diocèse de Séez) le 13/12/1920, séminariste du diocèse de Séez, mort à Mauthausen le 29/10/1944 ;
  • Jean Tinturier ; né à Vierzon (Cher – Diocèse de Bourges) le 20/02/1921, séminariste du diocèse de Bourges, mort à Mauthausen le 16/03/1945 ;
  • Jean Duthu ; né à Bordeaux (Gironde – Diocèse de Bordeaux) le 11/08/1921, séminariste du diocèse de Clermont, mort au camp de concentration de Flossenbürg le 13/05/1945 ;

 


Qui est André Boucher, alias frère Xavier o.f.m. ?

André BOUCHER est le plus jeune des franciscains martyrs du nazisme. Arrêté et torturé pour sa foi, il est mort à 24 ans dans un camp de concentration. Son sacrifice, reconnu au titre du « Martyr de l’Apostolat », culminera avec sa béatification le 13 décembre 2025.

Né à Cheniménil le 3 août 1920, il est entré chez les franciscains en 1940. 
Frère franciscain mineur, étudiant, il est requis pour le Service du Travail Obligatoire (STO) et envoyé à la Reichsbahn de Cologne (Allemagne) en 1943, missionné par le Cardinal Suhard, archevêque de Paris, et Mgr Rodhain dans le cadre de la "mission saint-Paul". Cette mission consistait à envoyer des prêtres, séminaristes, religieux, militants de l'Action catholique et scouts pour exercer un apostolat auprès des jeunes ouvriers déportés dans le cadre du STO.  Avec onze autres étudiants franciscains, ils ont formé la chorale « Les Douze Alouettes » pour accompagner les fêtes de l'Amicale ou les enterrements.

​Cet apostolat clandestin leur a valu d'être dénoncé et arrêté au motif de « service d'entraide catholique », en application d'un décret nazi du 3 décembre 1943. Ils ont été interrogés de façon sadique à la prison de Brauweiler avant d'être dirigés vers d'autres lieux de détention : la prison d'Iva à Cologne, puis le camp de concentration de Buchenwald. Par la suite, après le décès de trois militants malades du typhys, ils seront séparés : soit à demeurer à Buchenwald, soit envoyés dans une usine d'ailes d'avions à Langensalza, ou aux mines d'Halberstadt, voire Dachau.
C'est dans l'une de ces mines d'Halberstadt que frère Xavier restera d'épuisement.
André Boucher décède de pneumonie le 15 mars 1945 à l'infirmerie du kommando du camp de concentration de Langenstein-Zwieberge, à Halberstadt. 

Le Fr. Éloi Leclerc – bien connu pour ses écrits spirituels – était lui aussi membre des "Douze Alouettes". Ayant survécu à la déportation et à la vie dans les camps de concentration, il a pu témoigner du vécu avec ses onze autres frères – dont fr. Xavier – dans « Nous étions douze ».  
Découvrir ce texte sur le site du diocèse de Quimper : Lire ici

© Crédit photo : Famille Boucher


  « Talents de Frères » |  Une double rencontre exceptionnelle dans une nouvelle vidéo 

Restez connectés pour découvrir dès le 5 décembre une vidéo de témoignage avec Catherine de Sèze, nièce d'André Boucher. 
À travers ses mots sur son oncle maternel, vous pourrez ainsi découvrir le parcours et l'héritage spirituel de ce martyr vosgien. 

 

La famille d'André Boucher a créé un site à l'occasion de sa béatification.
Vous pourrez ainsi découvrir davantage la vie d'André Boucher (son enfance et sa famille, son engagement apostolique et le STO, les "Douze Alouettes", sa mort et sa mémoire)  : 


beatification-andre-boucher.jimdosite.com

 

Vivre la béatification à Paris et dans les Vosges

La messe de béatification aura lieu le samedi 13 décembre 2025 à 14h30 en la cathédrale Notre-Dame de Paris, présidée par le cardinal Jean-Claude Hollerich. Mgr Gourdon sera également présent. Ci-dessous, retrouvez comment vivre la béatification à Paris et dans les Vosges avant, pendant et après la messe de béatification. 
 

–  Conférence et prière : « Franciscains et martyrs de la résistance spirituelle »

À l’occasion de la béatification des 50 martyrs catholiques tués par le régime nazi lors de la Seconde guerre mondiale, les franciscains de Paris organisent une soirée en présence de l’historienne Caroline Langlois et Fr. Luc Mathieu.
Cette conférence a lieu le vendredi 12 décembre à 20h au couvent Saint-François de Paris (7 rue Marie Rose, 75014 Paris).
 

–  Suivre la messe de béatification en direct sur KTO 

La célébration sera retransmise en direct par KTO TV :  

 

–  Vivre la béatification dans les Vosges

  • Une messe sera particulièrement célébrée le samedi 20 décembre à 18h en l'église de Cheniménil (lieu de naissance d'André BOUCHER)
     
  • Pour les messes dominicales du dimanche 14 décembre, chaque paroisse est invitée à porter l'intention de prière pour le « Bienheureux André BOUCHER et ses compagnons » lors de la Prière Universelle et au moment de la prière eucharistique : 

    «  50 martyrs français du nazisme ont été béatifiés hier à Notre-Dame de Paris ; parmi eux, il y a un Vosgien, André BOUCHER, originaire de Cheniménil, qui était entré chez les Franciscains et qui est mort à 25 ans à Buchenwald. Prions pour ceux et celles qui, aujourd’hui encore, sont persécutés à cause de leur foi. Prions pour que ceux qui risquent leur vie pour l’Évangile, dans différentes parties du monde, fécondent l’Église de leur courage et de leur élan missionnaire.  » 

 

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