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La Communauté de paroisse de Vittel

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À l'occasion de cette nouvelle rentrée diocésaine, nous vous proposons de découvrir chaque mois une communauté de paroisses de notre diocèse, avec un focus spécifique chaque lundi sur la communauté de paroisses en question : une présentation de la communauté, les saints, le patrimoine et les initiatives de chaque communauté. Restez connectés pour découvrir #LeTourduDiocèse.

Place à la Communauté de paroisses de Vittel !


La communauté de paroisses de Vittel a une particularité propre à elle dans le diocèse : elle ne comporte qu'une seule paroisse ! Celle de Saint-Basles-de-la-Plaine.
La paroisse de Vittel s'étend sur un territoire marqué par le thermalisme de Vittel et Contrexéville, de Jainvillotte à Valfroicourt, de Robécourt à Estrennes, en passant par les champs des agriculteurs, différentes sources d'eaux et les forêts vosgiennes du secteur. Ce sont près de 18 700 âmes qui vivent dans ces 48 communes de la Plaine des Vosges.  
 


 


Le curé modérateur & l'équipe paroissiale

Le père Yves Fagnot est le curé doyen de la communauté de paroisse de Vittel depuis septembre 2020. À ses côtés, dans les différentes paroisses : les pères Jacques PÉTIN et Jean Pacifique NDALIBITSE et les diacres Michel BÉGIN  et Ernesto MENDES. Sans oublier le père Jacques HEINRICH, prêtre retiré qui apporte son concours.  
Ce sont une dizaine de personnnes qui accompagnent les dynamiques de la paroisse à travers la vie liturgique, l'accompagnement aux sacrements, l'annonce de la foi, la diaconie ou encore la communication. 
 

Les saints de la communauté de paroisses

La communauté de Vittel célèbre plusieurs saints, à travers notamment ses édifices religieux :
saint Laurent, saint Pierre, saint Elophe, saint Martin, saint Maurice, saitn Paul, saint Rémy, saint Blaise, saint Privat du petit Ban, saint Jean-Baptiste, sainte Colombe, saint Evre, saint Brice, saint Barthelemy, sainte Libaire, saint Hilaire, sainte Gondrude, saint Symphorien, saint Ferréol, saint Ferjeux, saint Valère, saint Michel, saint Roch, saint Romaric, saint Nicolas, saint Denis, saint Ode et sainte Trinité saint Louis et saint Basles.

Crédits photo : Jean-Jacques DALIA – ville de Vittel.

 

Nous sommes arrivés voilà 12 ans, à 2 ; dans la plaine des Vosges et aujourd’hui, nous sommes à la tête d’une joyeuse tribu de 5 enfants ; qui ont bientôt 12 et 10 ans pour nos ainés, puis nos filles de 6 et 3 ans et enfin, notre petit dernier, du haut de ses 6 mois qui nous comble de ses sourires. 

Nous avons cheminé à 2 ; vers le mariage et nous avons redécouvert notre foi. Tantôt poussé par l’un, tantôt par l’autre. Nous accompagnons nos enfants àgrandir également dans la foi, qu’ils ontreçuede leur baptême. Pour la nourrir, nous prions en famille quotidiennement, et dès que le besoin s’en fait sentir.   Prières   personnelles   mais   également   communes. Nous   tenons   également   à   la   messe dominicale. Pas de dérogations, nous y allons en famille dans la mesure du possible quel que soit leur âge. Nous emmenons nos enfants avec nous, car nous sommes convaincus que c’est en fréquentant les églises  qu’ils «finissent» par bien se tenir. Nous regrettons qu’il n’y ait  pas plus de «messes de jeunes» organisées par les Scouts, ou les catéchistes et aumônerie. Ou bien que  les enfants  soient d’avantage sollicités pendant la messe.

Famille Lucie et Nicolas PERRIN
Depuis mon enfance, j’ai ressenti une forte connexion avec Dieu. Je me posais sans cesse la question, qu’est-ce qu’il y a de l’autre côté ? Constatant que je posais de nombreuses questions à ce sujet, mes parents m’ont inscrit au catéchisme. Ce fut pour moi de belles années avec les copains, la sœur qui nous enseignait l’ancien et le nouveau testament, les sorties en groupe, les pèlerinages, que de bons souvenirs ! Je me suis engagé auprès du Seigneur jusqu’au sacrement de la Confirmation en la Cathédrale de Chartres lors du Jubilée de l’an 2000. Avec les études, la volonté de construire une famille, la vie quotidienne, je me suis détourné de Dieu, par manque de Foi je pense. Et je dirai que depuis deux ou trois années, Dieu me rappelle à lui d’une façon que l’on ne peut refuser son appel. Ma Foi est grandissante, pour dire même inébranlable. Je sais que chaque jour, chaque pas que je fais, je le fais avec le Seigneur. J’ai attendu que, tout comme moi, mes enfants demandent à connaitre plus amplement Jésus pour les inscrire à l’aumônerie et catéchèse. Récemment installé dans le bassin Vittellois, je ne connais pas tous les services mise à disposition par la paroisse. Je peux cependant mettre en lumière la bienveillance, la jovialité, l’écoute et l’altruisme de nos prêtres et diacres. Il en est tout autant des bénévoles de l’aumônerie et catéchèse. Père Yves m’a posé la question : comment pourrait-on améliorer les services de la Paroisse ? Je ne sais pas si cela est existant, mais je pense que de permettre aux fidèles de se confesser avant, ou après une messe, serait très enrichissant. Pourquoi pas, de permettre la confession dans un créneau d’une heure avant ou après la consécration de messe ? Un autre point que je souhaite mettre en lumière : Nous savons tous que la prière est cruciale. J’ai appris à prier le rosaire par moi-même. Saint Padre Pio nous disait que le rosaire est la meilleure protection qui nous est donnée. J’aimerais tant que soit mis à disposition des temps de prière du rosaire. Ou du moins, d’apprendre aux fidèles comment prier le rosaire afin de le faire en toute autonomie chez eux, face au Seigneur. Je trouve cela très important, car je sais que toutes les prières sont entendues ! Merci.

Arnaud RICOIS

Lorsque je suis arrivé dans cette communauté de paroisses, il y a 3 ans, cela m’a changé de celle de la vallée de la Haute Moselle qui comptait 8 communes dont la plus petite avait déjà 800 habitants. Ici, il y a des communes qui n’ont pas 40 habitants !  Le nombre de clochers est impressionnant (une cinquantaine). Cette communauté est originale, puisqu’à elle seule, elle constitue une seule paroisse. Cette paroisse regroupe d’anciennes paroisses qui sont maintenant des secteurs.  Elle est une unité de secteurs avec chacun son histoire, son originalité et ses forces vives. Vittel est le centre et le lieu d’habitation des prêtres mais pour certains villages c’est assez loin. La distanciation peut être un obstacle pour une unité de la paroisse. Et en même temps, on voit bien que le cadre géographique paroissial n’est pas le seul critère de la vitalité de l’Eglise et de l’engagement des chrétiens. Dans les villages, beaucoup de personnes sont au service de l’accompagnement des deuils, au service de la proximité. A côté des paroissiens habituels engagés depuis longtemps dans la vie paroissiale, nous avons quelques personnes plus jeunes, avec des expériences spirituelles très diverses. Notre défi est de pouvoir nous rencontrer et faire Eglise ensemble. Nous avons sûrement des peurs, des préjugés à dépasser, de l’écoute à avoir et la confiance en l’Esprit Saint pour nous mettre en route.

Autre défi : le patrimoine religieux avec ses multiples églises  anciennes et un patrimoine souvent remarquable. Pour la plupart, elles sont peu employées avec, souvent, une seule messe par an et quelques obsèques et mariages. Le troisième défi est la pastorale du thermalisme avec ces 7000 curistes qui viennent chaque année à Vittel et  Contrexéville, un défi à lier au souci  de la protection de l’environnement et de l’eau en particulier. L’interreligieux est aussi un défi avec une présence juive, musulmane, protestante et orthodoxe.
Et le défi permanent est la proximité avec les hommes, les femmes de cet espace essentiellement rural et leur accompagnement dans leurs joies, leurs espoirs, leurs malheurs, leurs souffrances. Pour relever ces défis nous aurons besoin de toujours être fidèle à la Parole de Dieu et d’assurer la présence de forces vives en partenariat avec d’autres. Gardons confiance, le paysage ecclésial bouge et va encore bouger même si nous ne relevons pas tous ces défis, Dieu nous accompagne dans ces changements.  « Seigneur, tu es avec moi, ton bâton me guide et me rassure » PS 22

La devise de la ville de Vittel est « Je revis par une source » Dans toutes ces incertitudes, ces bouleversements, revenons nous abreuver à la source qu’est Dieu  !

Abbé Yves FAGNOT

Curé doyen de la communauté de paroisses de Vittel, 
Curé modérateur paroisses Saint-Basle-de-la-Plaine, Notre-Dame-de-la-Saône, Bienheureux-Jean-Baptiste-Ménestrel, Saint-Martin de la Forêt

Je m'appelle Salomon, j'ai 25 ans, je suis agriculteur et comme beaucoup ma vie était rythmée par vivre, dormir, travailler, manger. Mais, il y a un an, Christ est venu me délivrer, me renouveler, faire de moi l'être pêcheur, un homme lui appartenant, faire un seul avec Lui. Il est temps pour chacun de vous de faire un choix sur sa vie. Je choisis Jésus le Christ pour qu'il vive en moi ou non. Il est temps de choisir si vous voulez vivre selon la volonté du Père ou non. Si oui, il est temps de se laisser délivrer par Lui, pour vivre une nouvelle vie, pour revivre de l’intérieur. Peu importe votre métier, votre vie, votre passé, Jésus vous appelle tous à la sainteté et son royaume dans le ciel.

Salomon LAURENT

 

1. Calvaire de Gendreville

La Croix de chemin de Gendreville est une croix de chemins datée de 1534 et  fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 13 août 1906.

Mesurant environ 5 mètres, ce à quoi on peut rajouter le socle inférieur, ce qui donne 6,8 mètres, la croix de Gendreville possède deux socles unis par une doucine formant plate-forme sur laquelle quatre crânes sont sculptés. Octogonale, c'est un pilier orné à sa partie supérieure de deux manchons de chacun 82 cm de hauteur, sculptés de seize statuettes taillées en haut-relief d'environ 25 cm, sous des dais flamboyants.Le croisillon primitif, sans doute pareil à celui de la croix de Beaufremont, a disparu. Il a été remplacé, vers 1820-1830, par le croisillon actuel dû à un sculpteur local, F. Philibert. On lit son nom sous les feuilles d'acanthe qui décorent la base du crucifix.

Des armoiries sont sculptées sous les deux manchons. À gauche du spectateur (à dextre) : un écu avec un chef et une bande brochant sur le tout qui sont les armes de la famille de Challant, dans la vallée d'Aoste ; à droite (à sénestre) : un écartelé aux 1 et 4, de gueules à un pal d'or, chargé de trois chevrons de sable qui sont les armes des comtes d'Arberg-Valangin en Suisse, près de Neuchâtel ; aux 2 et 3, vairé d'or et de gueules, armes de la famille de Beaufremont. À noter également que cette croix est datée 1534, en caractères encore gothiques, sur deux oreillettes qui bordent les blasons.

 

2. Retable aux douze apôtres - 16e siècle - église Saint-Epvre de Contrexéville

Pièce monolithe en calcaire taillé comportant sept niches entre des colonnettes portant une arcade. La niche centrale, légèrement plus large, porte un Christ bénissant. Les apôtres, groupés deux par deux sont la plupart identifiables grâce à leur attribut traditionnel. Au-dessus de ce retable court en frise une branche de vigne, sur laquelle sont trois écus, jadis sans doute polychromés, aujourd'hui illisibles.

 

 

 


3. Fonderie de cloches de Robécourt

Au début du XIXe siècle, le Bassigny comptait plusieurs centaines de fondeurs de cloches. Dans les Vosges, des fonderies de cloches étaient implantées à Martinvelle, à Urville et à Vrécourt. Il n’en reste plus de traces aujourd’hui. Fondée en 1847 par un Haut-Marnais, Perrin-Martin, celle de Robécourt est restée active jusqu’en 1940. Elle a donné naissance à près de 7 000 cloches dont 4 commandes pour des missions de la Côte d’Ivoire, de Tahiti, de Madagascar et du Togo, mais surtout pour toute la Lorraine soucieuse de remplacer les cloches fondues par les Allemands lors de la première guerre mondiale.

 

 

4.Mise au tombeau - église Saint-Pierre et Saint-Paul de Bulgnéville

Pierre polychrome. Ce sépulcre serait un don de la famille du Châtelet. Quatrième quart du XVe siècle. Ensemble remarquable et complet.

Il comprend les personnages suivants, le Christ, Joseph d'Arimathie, Marie mère de Jacques, saint Jean, la sainte Vierge, Marie-Madeleine, Marie-Salomé et saint Nicodème.

Respectant scrupuleusement les Evangiles, ces personnes présentes pendant cet acte précédent la Résurrection, sont aisément identifiables. A gauche se trouve Joseph d'Arimathie, debout près de la tête de Jésus, car cet homme pieux avait reçu le droit d'inhumer le cadavre. Il porte une aumônière à glands sur le côté droit, et une très jolie ceinture.

Selon Jean (Jn 19,39), il est aidé par Nicodème, personnage debour aux pieds du Christ. Trois femmes sont présentes, la première près de Joseph d'Arimathie, est la soeur de Marie, Marie Cléophé, mère de Jacques le Mineur, Joseph le Juste, Simojn et Jude (selon la tradition). Puis vient marie, soutenue par Jean représentation même de la douleur. A côté, se trouve Marie de Magdala avec ses logs cheveux défaits (la seule à ne pas porter le voile des veuves) et ses parfums. Elle était présente lors de la Crucifixion, la Mise au Tombeau et lors de la Résurrection, puisqu'elle fut la première à le voir en le confondant avec le jardinier.

La dernière femme serait l'autre soeur de Marie, Marie Salomé, mère de Jean et de Jacques le Majeur. Elle tient aussi un vase de parfums, mais les Evangiles ne signalent pas sa présence.

 

5. Mise au tombeau - église Saint-Laurent de Malaincourt

Monument (Onction) en pierre badigeonnée, jadis probablement polychrome, composé des huit personnages traditionnels de 1,30 mètres de haut. Date de la fin du xve, début du xvie siècle.

Une mise au tombeau lorsqu'elle est complète se compose de huit personnages. Dans un sarcophage et/ou un linceul, Jésus-Christ est entouré de Joseph d'Arimathie, Marie, sa mère, l'apôtre Jean, des trois saintes femmes que sont Marie de Magdala (Marie Madeleine), Marie Salomé, Marie Jacobé et de Nicodème.

 

6. Tableau à la gloire des combattants de 1914-1918 Eglise Saint Epvre Contrexéville

Signé par Maurice DENIS et les peintres de son Atelier d'Art sacré ( R. DUBOIS, M. LAVERGNE, A. LECOUTEY) en 1923 - Huile sur toile originellement marouflée

Les Ateliers d'art sacré (1919-1947) sont une école créée au XXe siècle pour favoriser l'émergence et la production d'œuvres d'art sacré à la fois modernes et théoriquement accessibles à un large public. Durant près de trente ans, cette mouvance rassemblera un nombre important d'artistes plus ou moins célèbres.

Maurice Denis est né à Granville, en Normandie, en 1870, mais passe son enfance en région parisienne où il vit jusqu'à la fin de sa vie. Il se forme tôt en fréquentant les musées où il copie les maîtres italiens, avant d’intégrer l’Académie Julian en 1888 et l’atelier de Gustave Moreau à l’Académie des Beaux-Arts. À l’Académie Julian, il se lie avec de nombreux artistes, parmi lesquels Paul Sérusier, Pierre Bonnard, ou encore Edouard Vuillard. Ensemble, ils forment le groupe des Nabis qui rejette une forme d’académisme, accorde une plus grande importance à l’œuvre et fait valoir la primauté des moyens picturaux sur le sujet. Ils cherchent à recentrer la peinture vers une forme de spiritualité.

En 1890, Maurice Denis théorise les formes esthétiques du groupe, ce qui apparaît comme le premier manifeste des Nabis. Surnommée le « Nabi aux belles icônes », l’œuvre de Denis est influencée par le décor et le japonisme. Ses œuvres sont empruntes d’une forte symbolique, ainsi que d’une grande spiritualité. C’est un artiste fortement marqué par la religion, que l’on retrouve fréquemment dans ses œuvres. Dans sa carrière, Maurice Denis multiplie les supports et les techniques : le dessin, la peinture, la gravure. Installé avec sa famille à Saint-Germain-Laye, il meurt en 1943 à la suite d’un accident.

7. Légende des trois Marie

Haut-relief en pierre polychrome 1er quart du 16e siècle. L'oeuvre de Bulgnéville est très rare car les représentations de la "légende des trois Marie" sont rarissimes.

Il représente la légende des trois Marie qui tente d'établir des liens de parenté entre le Christ et certains de ses apôtres dans les premiers siècles du christianisme. Elle repose sur sainte Anne, mère de Marie.

Au centre sont sainte Anne et la Vierge Marie, qui présente l'enfant Jésus. Anne a eu Marie, par l'Esprit Saint et Joachim son premier mari. Joachim est le premier du groupe de trois, à droite qu-dessus d'Anne. Marie fut mariée à saint Joseph, le personnage qui tient un bâton, au-dessus de la Vierge.

le deuxième mari d'Anne fut Cléophas, frère de Joseph, soit le personnage le plus à gauche du groupe des trois. DE cette union naît une deuxième fille, Marie Cléophé, qui s'est mariée à Alphé, l'homme de l'extrême gauche. Elle enfanta quatre fils, situés devant elle à gauche : saint Jacques le Mineur, saint Josph le Juste (dit aussi Barsabas), saint Simon et saint Jude.

Le troisième et dernier marie de sainte Anne fut Salomé (personnage centraldu groupe des trois), avec qui elle eut une troisième fille, Marie Salomé qui est mariée à Zébédé, personnage de l'extrême droite, au-dessus d'elle. Sont nés alors saint Jean l'Evangeliste et Jacques le Mineur, le pélerin de Compostelle.

Tous les enfants tiennent des phylactères, où étaient sans doute peints leurs noms.

 

 

 

 

La  paroisse de Vittel propose de découvrir plusieurs initiatives vécues et mises en place dans la paroisse. 

 

1.   Mise en route d’une nouvelle équipe du Secours Catholique

Le 15 janvier, sous l’impulsion de Pierre, animateur Secours catholique, nous avons commencé à réfléchir aux besoins dans le domaine de la lutte contre la pauvreté sur le secteur de Vittel. Petit à petit au fil de nos rencontres, des personnes nouvelles sont venues nous rejoindre, une équipe s’est mise en place avec un projet et cet objectif : aider les personnes à sortir de l’isolement avec une réalisation durant le mois de mai.



 

 

2.   Mise en place des équipes de secteur

Dans notre paroisse de 48 communes sur un vaste périmètre, nous avons voulu garder une certaine proximité. C’est pourquoi, il a été décidé de constituer une équipe sur les secteurs héritiers des anciennes paroisses. Ces équipes auraient le souci d’être à l’écoute de la vie des gens, des demandes sacramentelles et d’assurer une présence dans les églises occupées une fois par an pour la messe de la fête patronale. Cette présence pourrait se traduire par un temps de prière, un chapelet, un Rosaire, un temps d’adoration. Tous les secteurs se sont retrouvés à Vittel avant la crise sanitaire et certains se sont déjà organisés pour diffuser la feuille d’information mensuelle aux personnes désireuses de la recevoir et ne pouvant se déplacer. La crise sanitaire s’améliorant, nous espérons relancer l’initiative de proximité.


 

3.   Paroisse en fête

Tous les ans, le dernier dimanche de septembre, la paroisse est en fête. Depuis un certain nombre d’années, l’habitude était prise de se rassembler dans un village pour la messe dominicale, de partager ensuite le repas et de se rendre à pied dans un autre village. Arrivé à destination, la journée se terminait par les vêpres et un goûter. La dernière en date a démarré à Bulgnéville et s’est conclu à Saulxures-les-Bulgnéville après une balade de 5 kms dans la forêt. Des jeux étaient proposés par les scouts tout au long du parcours et la municipalité de Saulxures nous a offert le goûter à notre arrivée, clôturant une journée intergénérationnelle et conviviale avec les vêpres à l’église.

 

4.   Développement de la communication paroissiale 

Le besoin de communication se fait sentir et a du mal à être totalement comblé. Nous avions un bulletin distribué dans toutes les boîtes aux lettres et avions décidé de faire un journal paroissial avec d ‘autres paroisses voisines. Parallèlement, nous avons mis en route une feuille mensuelle pour les paroissiens permettant de les informer sur les activités spécifiquement paroissiales. La création du journal fut arrêté par la crise sanitaire et le découragement qu’elle a engendré. Nous avons gardé cette feuille mensuelle qui maintient un lien en attendant de relancer l’initiative du journal. Comme moyen de communication, nous avons une page Facebook « Vittel paroisse », une page sur le site diocésain et la feuille mensuelle.

 

La paroisse de Vittel a plusieurs supports de communication actuellement : 

-   Site internet :  https://vittel.catholique88.fr/
-   Compte Facebook  :   Vittel Paroisse
-   Feuille mensuelle 
 

 

 

 

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