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Paroisse Saint-Dié
Paroisse Saint-Dié
Notre paroisse porte le même nom que le diocèse auquel elle est rattachée et couvre la ville entière de Saint-Dié-des-Vosges.
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Permanences :
- du lundi au vendredi de 9h30 à 11h30 et de 14h à 18h
- le samedi de 9h30 à 11h30
IIe Dimanche de Carême
Ier Dimanche de Carême
Ta Parole, Seigneur, est vérité,
et ta loi, délivrance.
L’homme ne vit pas seulement de pain,
mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.
Ta Parole, Seigneur, est vérité,
et ta loi, délivrance. (Mt 4, 4b)
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (1, 12-15)
Jésus venait d’être baptisé.
Aussitôt l’Esprit le pousse au désert et, dans le désert,
il resta quarante jours, tenté par Satan.
Il vivait parmi les bêtes sauvages, et les anges le servaient.
Après l’arrestation de Jean, Jésus partit pour la Galilée
proclamer l’Évangile de Dieu ;
il disait : « Les temps sont accomplis :
le règne de Dieu est tout proche.
Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. »
Feuilles d'annonces - Ier Dimanche de Carême : Dimanche 18 février
Carême 2024, François invite à prendre le chemin de la liberté.
Je suis le Seigneur ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage ». C’est cet extrait du livre de l’Exode, lorsque que s’ouvre l'épisode du Décalogue donné à Moïse sur le Mont Sinaï, que François a commenté dans son message de Carême 2024, intitulé « À travers le désert, Dieu nous guide vers la liberté ».
Le contenu du Décalogue est un « appel vigoureux à la liberté », explique d’abord le message.
« Le Carême est le temps de la grâce durant lequel le désert redevient –comme l’annonce le prophète Osée– le lieu du premier amour ».
L’exode de l’esclavage vers la liberté
L’exode de l’esclavage vers la liberté est une démarche qu’il faut rendre concrète. Pour cela, le Souverain pontife explique la nécessité de « voir la réalité », tel le Seigneur qui a su voir les misères du peuple en Égypte. Un chemin vers la réalité qui passe par des interrogations :
Ainsi, le parcours du Carême sera complet, détaille le message du Saint-Père, si « nous reconnaissons que nous sommes encore sous la domination du pharaon », « une domination qui nous épuise et nous rend insensibles. C’est un modèle de croissance qui nous divise et nous vole l’avenir. La terre, l’air et l’eau en sont pollués, mais les âmes sont, elles aussi, contaminées. »
François s’arrête ensuite sur un détail dans le récit de l’Exode qui a selon lui une grande importance : c’est Dieu qui voit et décide de libérer, ce n’est pas Israël qui le demande. « Le Pharaon, en effet, anéantit même les rêves, vole le ciel, fait apparaître comme immuable un monde où la dignité est bafouée et où les relations authentiques sont déniées. »
Poursuivant, le Saint-Père partage son inquiétude quant au « défaut d’espérance » qu’il constate : « il s’agit d’un obstacle au rêve, d’un cri muet qui monte jusqu’au ciel et touche le cœur de Dieu et ressemble à ce regret de l’esclavage qui paralyse Israël dans le désert, en l’empêchant d’avancer. »
Mais « l’exode peut prendre fin », encourage-t-il.
Accueillir le Carême
Le Carême est un temps de conversion et un temps de liberté, poursuit l’évêque de Rome, « Jésus lui-même, comme nous le rappelons chaque année à l’occasion du premier dimanche de Carême, a été conduit par l’Esprit au désert pour être éprouvé dans sa liberté. »
Ainsi, pendant 40 jours, « il sera devant nous et avec nous : il est le Fils incarné. Contrairement au Pharaon, Dieu ne veut pas des sujets, mais des fils ». Utilisons le désert comme un espace dans lequel « notre liberté peut mûrir en une décision personnelle de ne pas retomber dans l’esclavage », exhorte le message, invitant également à trouver « de nouveaux critères de jugement et une communauté » pour s’engager sur une route inédite.
La lutte contre les idoles
Ce nouveau chemin implique une lutte, celle contre les idoles.
« Chaque être humain ressent en lui la séduction de ce mensonge. C’est une vieille habitude. », concède le Pape. Chacun peut s’accrocher à l’argent, à une position, des objectifs, une tradition… Qui, « Au lieu de nous faire avancer », nous paralysent.
Pour le Carême de cette année, une autre invitation lancée par François est celle d’agir dans la prière :
De cette manière, le cœur « atrophié et isolé » s’éveillera et l’individu pourra s’arrêter et ralentir.
L’Église en Synode
Enfin, détaille le Saint-Père dans l’avant-dernier paragraphe de son message, le Carême est aussi un temps synodal et doit être un temps de « décisions communautaires ». François invite par conséquent chaque communauté chrétienne à « offrir à ses fidèles des moments pour repenser leur style de vie ; se donner du temps pour vérifier leur présence dans le quartier et leur contribution à le rendre meilleur. »
La conclusion de ce message est destinée aux jeunes, le Souverain pontife reprend ses propos lors de sa rencontre avec les jeunes universitaires lors des JMJ de Lisbonne en 2023, « Cherchez et risquez. À ce tournant de l’histoire, les défis sont énormes, les gémissements douloureux. Nous assistons à une troisième guerre mondiale par morceaux. Prenons le risque de penser que nous ne sommes pas dans une agonie, mais au contraire dans un enfantement ; non pas à la fin, mais au début d’un grand spectacle. Il faut du courage pour penser cela ».
C’est bien là, estime François, que se trouve le courage de la conversion.
Vatican News
Lire la Bible ensemble
Mardi 20 février à 14h30
Maison Charles-de-Foucauld
1er Dimanche de Carême
VIe Dimanche du temps ordinaire
VIe Dimanche du temps ordinaire - Année B
Alléluia. Alléluia.
Un grand prophète s’est levé parmi nous,
et Dieu a visité son peuple.
Alléluia. (Lc 7, 16)
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (1, 40-45)
En ce temps-là, un lépreux vint auprès de Jésus ;
il le supplia et, tombant à ses genoux, lui dit :
« Si tu le veux, tu peux me purifier. »
Saisi de compassion, Jésus étendit la main,
le toucha et lui dit :
« Je le veux, sois purifié. »
À l’instant même, la lèpre le quitta
et il fut purifié.
Avec fermeté, Jésus le renvoya aussitôt
en lui disant :
« Attention, ne dis rien à personne,
mais va te montrer au prêtre,
et donne pour ta purification
ce que Moïse a prescrit dans la Loi :
cela sera pour les gens un témoignage. »
Une fois parti,
cet homme se mit à proclamer et à répandre la nouvelle,
de sorte que Jésus ne pouvait plus entrer ouvertement dans une ville,
mais restait à l’écart, dans des endroits déserts.
De partout cependant on venait à lui.
Feuille d'annonces - VIe dimanche du Temps Ordinaire - année B - 14 février 2024 : Dimanche 11 février cathédrale
Les hasards du calendrier nous font célébrer en même temps ce 11 février, la journée mondiale des malades et la journée nationale du dimanche de la santé. Prendre en compte en même temps les malades et ceux qui les soignent ou se mettent à leur service. Alors que bien souvent, on ne pense qu’aux malades… même lors du dimanche de la santé.
Voilà tout l’enjeu de cette journée !
Il nous faut tenir les deux ensemble.
De la même manière, il nous faut tenir ensemble l’exclusion que subissent les lépreux de l’Évangile et tant d’autres dans notre société et le désir de tous d’aller à Jésus.
De partout, on venait à lui !
Jésus attire les foules sans l’avoir désiré, sans l’avoir cherché. Et même s’il lui arrive de se retirer au désert pour prier, il ne se dérobe pas à ceux qui viennent à lui.
Il refuse toute forme d’exclusion. Plus encore, l’exclusion provoque sa colère, découvrirons-nous dans le commentaire biblique.
Dès lors, ayons à cœur de regarder ces nombreux chemins de vie qui mènent à Jésus. Ils sont parfois bien tortueux. Ils sont parfois longs et douloureux. Ils ont parfois l’aridité de la maladie, du handicap, de la grande vieillesse.
Il faut du temps et une bonne dose d’humilité pour découvrir que c’est au cœur même de l’épreuve que le Seigneur, parfois, se révèle…
Seuls, ceux qui vivent cette expérience peuvent tenter de balbutier quelques mots pour en parler. Il serait bien inconvenant qu’un bien-portant les leur assène !
Il nous revient aussi d’être vigilants quant à l’exclusion que vivent encore nombre de personnes du fait de leur « lèpre », qu’elle s’appelle maladie, handicap ou grand âge, différence, chômage, précarité… « Pas d’exclus sur notre terre » proclamait un slogan humanitaire il y a quelques années. Il est sans doute de notre responsabilité à chacun qu’il n’y ait d’exclu ni sur notre terre ni dans notre Église. Vaste programme !
Chantal Lavoilotte
Comité de rédaction
Conférence des évêques de France
UN DIMANCHE POUR LA SANTÉ,POUR QUOI ? POUR QUI ?
Le dimanche de la santé a été instauré vers la fin des années 80, à l’initiative d’un groupe de l’Action Catholique des Milieux Sanitaires et Sociaux (ACMSS) pour mettre en lumière la présence des soignants dans les communautés paroissiales. Ces soignants, par leurs horaires décalés, ne pouvaient pas toujours participer activement à la vie paroissiale, mais ils vivaient au quotidien ce « prendre soin » si cher au Christ.
La date retenue pour cette célébration au niveau national est celle du dimanche le plus proche du 11 février instauré par Jean-Paul II en 1992 comme journée mondiale des malades.
La vocation du dimanche de la santé est, vraiment, de rendre visible dans les communautés chrétiennes, l’ensemble des soignants, les chercheurs, les aidants, les visiteurs de malades, les équipes d’aumônerie et toutes les associations… ceux qui œuvrent, souvent dans l’ombre, et sont tellement importants, tellement essentiels pour la prise en charge des personnes malades, âgées, handicapées, pour leur bien-être.
Si vous souhaitez recevoir le sacrement des malades ce dimanche,
veuillez vous adresser à Marie-Sidonie de Blic au : 06.42.13.63.29
Bon de commande à télécharger : Microsoft Word - Document1
Soirée louange
Ve Dimanche du temps ordinaire
Soirée louange
Ve Dimanche du temps ordinaire
Alléluia. Alléluia.
Le Christ a pris nos souffrances,
il a porté nos maladies.
Alléluia. (Mt 8, 17)
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (1, 29-39)
En ce temps-là, aussitôt sortis de la synagogue de Capharnaüm,
Jésus et ses disciples allèrent, avec Jacques et Jean,
dans la maison de Simon et d’André.
Or, la belle-mère de Simon était au lit, elle avait de la fièvre.
Aussitôt, on parla à Jésus de la malade.
Jésus s’approcha, la saisit par la main
et la fit lever.
La fièvre la quitta, et elle les servait.
Le soir venu, après le coucher du soleil,
on lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal
ou possédés par des démons.
La ville entière se pressait à la porte.
Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies,
et il expulsa beaucoup de démons ;
il empêchait les démons de parler,
parce qu’ils savaient, eux, qui il était.
Le lendemain, Jésus se leva, bien avant l’aube.
Il sortit et se rendit dans un endroit désert,
et là il priait.
Simon et ceux qui étaient avec lui partirent à sa recherche.
Ils le trouvent et lui disent :
« Tout le monde te cherche. »
Jésus leur dit :
« Allons ailleurs, dans les villages voisins,
afin que là aussi je proclame l’Évangile ;
car c’est pour cela que je suis sorti. »
Et il parcourut toute la Galilée, proclamant l’Évangile dans leurs synagogues,
et expulsant les démons.
Pour télécharger la feuille de ce dimanche : Dimanche 4 février
Dimanche 4 février, après les Vêpres Solennelles,
tous les paroissiens sont conviés à partager des crêpes dans une ambiance chaleureuse,
à la maison Charles-de-Foucauld.
« CHEMINS D'ESPÉRANCE » POUR VIVRE LE CARÊME ET PÂQUES EN 2024
« Tout près de toi est la Parole, elle est dans ta bouche et dans ton cœur » nous dit l’Apôtre Paul (Rm 10, 8). La Parole qui mûrit en notre cœur, à la croisée de notre expérience, de notre réflexion et de notre méditation, veut à son tour habiter nos paroles et les transfigurer. Depuis maintenant trois ans, notre livret de Carême propose deux étapes : un temps personnel en vue d’un cheminement intérieur et un temps communautaire afin de partager quelque chose de ce chemin personnel.
À travers ce partage spirituel – qui n’exclut pas celui d’une part du meilleur gâteau maison ! – peuvent grandir « des communautés selon l’Évangile » selon le souhait de Mgr BERTHET. Ce qui nous unit, ce qui fait de nous une communauté de croyants, frères et sœurs dans le Fils unique, est en effet la Parole de Vie, la Bonne Nouvelle de notre salut, l’Évangile de Dieu dont l’annonce est un « culte spirituel » rendu à Dieu (cf. Rm 1, 9). Au sein d’une même communauté, nous mettons en commun au profit de tous, ce que chacun a de meilleur, selon le caractère spécifique de cette communauté. Dans une communauté qui veut vivre selon l’Évangile, comment ne pas partager ce que chacun reçoit de ce même Évangile ?
Comme je le remarquais au début de l’Avent, « les six participants français au synode romain ont témoigné à Lourdes lors de l’Assemblée plénière de la Conférence des évêques de France de l’expérience très forte qu’ils y ont vécu. La ‘conversation dans l’Esprit’, bien plus qu’une méthode, a été le lieu où a pris corps une parole plus profonde que tout ce qui avait été dit par les uns et les autres, une parole fécondée par l’Esprit. Plusieurs participants aux rencontres qui ont eu lieu à travers le diocèse sur ce même mode en ont fait spontanément le constat. »
Forts de ce constat, nous vous proposons de vous appuyer sur cette méthode pour vivre des rencontres tout au long du Carême. Nous cheminerons cette année avec la première lettre de saint Pierre, indépendamment du cycle liturgique des lectures du dimanche (un extrait de cette lettre est lu le premier dimanche, mais ne le cherchez pas dans ces pages, il n’y est pas proposé !) On dit de la lettre de saint Jacques que nous avons lue l’an passé qu’elle est, de tous les écrits du Nouveau Testament, celui qui se rapproche le plus de ce que pouvait être la prédication de Jésus. Celle de Pierre, moins ‘rugueuse’, s’en rapproche par certains aspects. Nous l’aborderons dans ces pages sous le prisme de l’espérance. Une introduction à la première lettre de saint Jean lue pendant le temps pascal, vous aidera à prolonger votre partage après Pâques.
À tous un très beau chemin de Carême pour une « vive espérance », nous qui sommes appelés à partager « la gloire éternelle » de Dieu !
Père Denis BELIGNÉ
Administrateur diocésain
Pour télécharger le livret : diocese_de_saint-die_livret_careme_2024_chemins_desperance.pdf
Nous avons privilégié cette année une approche dans le prolongement de l’année dernière autour de la 1ère Épître de saint Pierre, dans la contemplation de l'œuvre de Pierre Soulages... en hommage aussi à Mgr Berthet qui a écrit sa 1ère exhortation pastorale à l’appui de cette Épître.
Sur la route de notre conversion pastorale, pour « des communautés selon l’Évangile », puissions- nous vivre ce temps de Carême et de Pâques en s’inscrivant davantage dans l’esprit du processus impulsé par notre pape François :
« Le but du processus synodal n’est pas de produire des documents mais d’ouvrir des horizons d’espérance pour l’accomplissement de la mission de l’Église. »
Extrait de Instrumentum Laboris (Octobre 2023)
Conversion pastorale de la paroisse de Saint-Dié – Émission "Rencontres" du 27 janvier 2024
Magazine rencontres janvier 2024 : conversion pastorale de la paroisse de Saint-Dié - YouTube
Le dimanche de la santé ?
Pour Quoi ? Pour Qui ?
Le dimanche de la santé a été instauré vers la fin des années 80, à l’initiative d’ungroupe de l’Action Catholique des Milieux Sanitaires et Sociaux (ACMSS) pour mettre en lumière la présence des soignants dans les communautés paroissiales. Ces soignants, par leurs horaires décalés, ne pouvaient pas toujours participer activement à la vie paroissiale, mais ils vivaient au quotidien ce « prendre soin » si cher au Christ. La date retenue pour cette célébration au niveau national est celle du dimanche le plus proche du 11 février instauré par Jean-Paul II en 1992 comme journée mondiale des malades.
La vocation du dimanche de la santé est, vraiment, de rendre visible dans les communautés chrétiennes, l’ensemble des soignants, les chercheurs, les aidants, les visiteurs de malades, les équipes d’aumônerie et toutes les associations… ceux qui œuvrent, souvent dans l’ombre, et sont tellement importants, tellement essentiels pour la prise en charge des personnes malades, âgées, handicapées, pour leur bien-être.
Pour Pâques,
le service de la catéchèse de la paroisse vous propose une vente de différents fromages en provenance du Haut Doubs.
Ainsi, vous aiderez à financer la sortie de fin d'année des enfants.
Vous trouverez des bulletins de commande à la sortie des églises et au presbytère.
La date limite pour commander : samedi 23 mars 2024. Vous pouvez déposer vos commandes au presbytère.
La livraison aura lieu le samedi 30 mars 2024,
Pour télécharger le bon de commande : commande_fromages_8_avril_23.png (556×791)
Dimanche de la santé
Le dimanche de la santé ?
Pour Quoi ? Pour Qui ?
Le dimanche de la santé a été instauré vers la fin des années 80, à l’initiative d’un groupe de l’Action Catholique des Milieux Sanitaires et Sociaux (ACMSS) pour mettre en lumière la présence des soignants dans les communautés paroissiales. Ces soignants, par leurs horaires décalés, ne pouvaient pas toujours participer activement à la vie paroissiale, mais ils vivaient au quotidien ce « prendre soin » si cher au Christ. La date retenue pour cette célébration au niveau national est celle du dimanche le plus proche du 11 février instauré par Jean-Paul II en 1992 comme journée mondiale des malades.
La vocation du dimanche de la santé est, vraiment, de rendre visible dans les communautés chrétiennes, l’ensemble des soignants, les chercheurs, les aidants, les visiteurs de malades, les équipes d’aumônerie et toutes les associations… ceux qui œuvrent, souvent dans l’ombre, et sont tellement importants, tellement essentiels pour la prise en charge des personnes malades, âgées, handicapées, pour leur bien-être.