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Paroisse Saint-Dié
Paroisse Saint-Dié
Notre paroisse porte le même nom que le diocèse auquel elle est rattachée et couvre la ville entière de Saint-Dié-des-Vosges.
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Permanences :
- du lundi au vendredi de 9h30 à 11h30 et de 14h à 18h
- le samedi de 9h30 à 11h30
IIIe Dimanche de Carême
"ÇA S'EST PASSÉ DANS LA PAROISSE"
De partout on venait à lui.
Le dimanche 11 février 2024, journée mondiale des malades (instituée par saint Jean-Paul II) et dimanche de la santé, les visiteurs de personnes malades en hôpitaux, à domicile ou en E.H.P.A.D du doyenné de la Meurthe, ainsi que les soignants, étaient invités à la messe à la cathédrale de Saint-Dié. Le père Arnaud Meyer, curé de la cathédrale, a donné le sacrement des malades à quatre personnes devant une assemblée rajeunie par la présence des enfants.
Ce jour-là également, quatre d’entre eux ont été accueillis en vue du baptême.
Tous ces jeunes, montés autour de l’autel pour prier le Notre Père, sont allés ensuite donner un signe de paix à toute l’assemblée présente.
Avant de conclure la célébration, le père Arnaud a convié les équipes de visiteurs et les soignants à le rejoindre dans le chœur de l’église pour un envoi en mission.
IIe Dimanche de Carême
Gloire au Christ,
Parole éternelle du Dieu vivant.
Gloire à toi, Seigneur.
De la nuée lumineuse,
la voix du Père a retenti :
« Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le ! »
Gloire au Christ,
Parole éternelle du Dieu vivant.
Gloire à toi, Seigneur. (cf. Mt 17, 5)
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (9, 2-10)
En ce temps-là, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean,
et les emmena, eux seuls, à l’écart sur une haute montagne.
Et il fut transfiguré devant eux.
Ses vêtements devinrent resplendissants, d’une blancheur telle
que personne sur terre ne peut obtenir une blancheur pareille.
Élie leur apparut avec Moïse, et tous deux s’entretenaient avec Jésus.
Pierre alors prend la parole et dit à Jésus :
« Rabbi, il est bon que nous soyons ici !
Dressons donc trois tentes :
une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie. »
De fait, Pierre ne savait que dire,
tant leur frayeur était grande.
Survint une nuée qui les couvrit de son ombre,
et de la nuée une voix se fit entendre :
« Celui-ci est mon Fils bien-aimé : écoutez-le ! »
Soudain, regardant tout autour,
ils ne virent plus que Jésus seul avec eux.
Ils descendirent de la montagne,
et Jésus leur ordonna de ne raconter à personne ce qu’ils avaient vu,
avant que le Fils de l’homme
soit ressuscité d’entre les morts.
Et ils restèrent fermement attachés à cette parole,
tout en se demandant entre eux ce que voulait dire :
« ressusciter d’entre les morts ».
Feuille d'annonces - IIe Dimanche de Carême - année B : Dimanche 25 février - Cathédrale
« La montagne est le lieu où Dieu se révèle »
Mes chers frères et sœurs, aujourd’hui l’Église nous propose de célébrer le deuxième dimanche du temps de carême, année B. Le livre de la genèse, dans la péricope lue, nous présente l’histoire du sacrifice d’Abraham. Dans l’Évangile, saint Marc, quant à lui, nous fait méditer sur le passage de la transfiguration de notre Seigneur Jésus-Christ, devant trois de ses disciples : Pierre, Jacques et Jean.
La symbolique de la montagne dans les Écritures saintes est très importante et significative. La montagne est le lieu où Dieu se révèle, est rencontré et expérimenté. Nous pouvons nous souvenir de Moïse qui rencontre Dieu sur le mont Sinaï ; Jésus prêche les sermons sur la montagne et il a été crucifié sur le mont Calvaire. Dans l’Évangile d'aujourd'hui, Jésus est transfiguré sur la montagne.
Dans les deux lectures, Genèse et l’Évangile de Saint Marc) nous trouvons deux mouvements significatifs de toute vie spirituelle : la montée sur la montagne, mais aussi la descente dans la plaine : monter sur la montagne, c’est se mettre à l’écart, c’est être au-dessus, un lieu de théophanie, d’écoute et de prière. Monter sur la montagne, c’est élever son esprit, quitter un instant le monde purement matériel pour une rencontre immatérielle avec Dieu. Il s’agit de s’élever au-delà du créé pour contempler la gloire et la grandeur de Dieu. Le Seigneur nous invite souvent à l’écart pour converser avec lui dans la prière. Notre vie spirituelle a besoin de cette écoute de Dieu afin de vivre sa parole dans la routine sociale.
Ainsi donc, après avoir écouté le Seigneur et contempler sa gloire sur la montagne, il nous faut descendre dans la plaine rencontrer nos frères et sœurs. La vraie rencontre avec Dieu sur la montagne de la prière nous renvoie à l’action et cette action se réalise au sein de la communauté des frères et des sœurs. « Nous sommes invités à retourner en bas, dans la plaine et à rejoindre le monde dans ce qu’il vit. Nous y trouverons tous ceux et celles qui sont accablés par le poids du fardeau, des maladies, des injustices, de l’ignorance, de la pauvreté matérielle et spirituelle ».
L’Évangile de saint Marc sur la transfiguration éclaire la vie de Jésus, mais aussi la vie de chacune de nos vies. Face aux difficultés que nous rencontrons tous les jours, les moments de contact avec Dieu peuvent nous redonner le courage nécessaire pour descendre de la montagne et faire face aux problèmes de la vie quotidienne.
Il semble que Martin Luther King, au milieu des menaces de mort, s’est souvenu de ce passage biblique de la transfiguration et il a écrit dans son journal : « Je suis monté sur la montagne pour prier et j’ai entrevu la terre promise... Cette rencontre avec Dieu m’a permis de continuer à lutter pour la justice.»
Le dimanche de la Transfiguration est une invitation à prier mais aussi à travailler dans la société ; à être des contemplatifs dans l’action. La parole de Dieu que nous écoutons dans la prière et qui nous transforme intérieurement et extérieurement, nous ne pouvons la garder pour nous seuls. Si nous l’accueillons, ce n’est pas pour la mettre au frigo mais pour la partager avec nos frères et sœurs.
Prions afin que le Seigneur nous accorde la grâce de l’écouter et de le contempler dans sa gloire mais aussi la joie de le proclamer et de le partager au monde. Amen
Le Père jésuite Martin Bahati
Méditation - Vatican News
La Transfiguration, Armando Alemdar Ara, 2014
IIe Dimanche de Carême
Ier Dimanche de Carême
Ta Parole, Seigneur, est vérité,
et ta loi, délivrance.
L’homme ne vit pas seulement de pain,
mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.
Ta Parole, Seigneur, est vérité,
et ta loi, délivrance. (Mt 4, 4b)
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (1, 12-15)
Jésus venait d’être baptisé.
Aussitôt l’Esprit le pousse au désert et, dans le désert,
il resta quarante jours, tenté par Satan.
Il vivait parmi les bêtes sauvages, et les anges le servaient.
Après l’arrestation de Jean, Jésus partit pour la Galilée
proclamer l’Évangile de Dieu ;
il disait : « Les temps sont accomplis :
le règne de Dieu est tout proche.
Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. »
Feuilles d'annonces - Ier Dimanche de Carême : Dimanche 18 février
Carême 2024, François invite à prendre le chemin de la liberté.
Je suis le Seigneur ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage ». C’est cet extrait du livre de l’Exode, lorsque que s’ouvre l'épisode du Décalogue donné à Moïse sur le Mont Sinaï, que François a commenté dans son message de Carême 2024, intitulé « À travers le désert, Dieu nous guide vers la liberté ».
Le contenu du Décalogue est un « appel vigoureux à la liberté », explique d’abord le message.
« Le Carême est le temps de la grâce durant lequel le désert redevient –comme l’annonce le prophète Osée– le lieu du premier amour ».
L’exode de l’esclavage vers la liberté
L’exode de l’esclavage vers la liberté est une démarche qu’il faut rendre concrète. Pour cela, le Souverain pontife explique la nécessité de « voir la réalité », tel le Seigneur qui a su voir les misères du peuple en Égypte. Un chemin vers la réalité qui passe par des interrogations :
Ainsi, le parcours du Carême sera complet, détaille le message du Saint-Père, si « nous reconnaissons que nous sommes encore sous la domination du pharaon », « une domination qui nous épuise et nous rend insensibles. C’est un modèle de croissance qui nous divise et nous vole l’avenir. La terre, l’air et l’eau en sont pollués, mais les âmes sont, elles aussi, contaminées. »
François s’arrête ensuite sur un détail dans le récit de l’Exode qui a selon lui une grande importance : c’est Dieu qui voit et décide de libérer, ce n’est pas Israël qui le demande. « Le Pharaon, en effet, anéantit même les rêves, vole le ciel, fait apparaître comme immuable un monde où la dignité est bafouée et où les relations authentiques sont déniées. »
Poursuivant, le Saint-Père partage son inquiétude quant au « défaut d’espérance » qu’il constate : « il s’agit d’un obstacle au rêve, d’un cri muet qui monte jusqu’au ciel et touche le cœur de Dieu et ressemble à ce regret de l’esclavage qui paralyse Israël dans le désert, en l’empêchant d’avancer. »
Mais « l’exode peut prendre fin », encourage-t-il.
Accueillir le Carême
Le Carême est un temps de conversion et un temps de liberté, poursuit l’évêque de Rome, « Jésus lui-même, comme nous le rappelons chaque année à l’occasion du premier dimanche de Carême, a été conduit par l’Esprit au désert pour être éprouvé dans sa liberté. »
Ainsi, pendant 40 jours, « il sera devant nous et avec nous : il est le Fils incarné. Contrairement au Pharaon, Dieu ne veut pas des sujets, mais des fils ». Utilisons le désert comme un espace dans lequel « notre liberté peut mûrir en une décision personnelle de ne pas retomber dans l’esclavage », exhorte le message, invitant également à trouver « de nouveaux critères de jugement et une communauté » pour s’engager sur une route inédite.
La lutte contre les idoles
Ce nouveau chemin implique une lutte, celle contre les idoles.
« Chaque être humain ressent en lui la séduction de ce mensonge. C’est une vieille habitude. », concède le Pape. Chacun peut s’accrocher à l’argent, à une position, des objectifs, une tradition… Qui, « Au lieu de nous faire avancer », nous paralysent.
Pour le Carême de cette année, une autre invitation lancée par François est celle d’agir dans la prière :
De cette manière, le cœur « atrophié et isolé » s’éveillera et l’individu pourra s’arrêter et ralentir.
L’Église en Synode
Enfin, détaille le Saint-Père dans l’avant-dernier paragraphe de son message, le Carême est aussi un temps synodal et doit être un temps de « décisions communautaires ». François invite par conséquent chaque communauté chrétienne à « offrir à ses fidèles des moments pour repenser leur style de vie ; se donner du temps pour vérifier leur présence dans le quartier et leur contribution à le rendre meilleur. »
La conclusion de ce message est destinée aux jeunes, le Souverain pontife reprend ses propos lors de sa rencontre avec les jeunes universitaires lors des JMJ de Lisbonne en 2023, « Cherchez et risquez. À ce tournant de l’histoire, les défis sont énormes, les gémissements douloureux. Nous assistons à une troisième guerre mondiale par morceaux. Prenons le risque de penser que nous ne sommes pas dans une agonie, mais au contraire dans un enfantement ; non pas à la fin, mais au début d’un grand spectacle. Il faut du courage pour penser cela ».
C’est bien là, estime François, que se trouve le courage de la conversion.
Vatican News
Lire la Bible ensemble
Mardi 20 février à 14h30
Maison Charles-de-Foucauld
1er Dimanche de Carême
VIe Dimanche du temps ordinaire
VIe Dimanche du temps ordinaire - Année B
Alléluia. Alléluia.
Un grand prophète s’est levé parmi nous,
et Dieu a visité son peuple.
Alléluia. (Lc 7, 16)
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (1, 40-45)
En ce temps-là, un lépreux vint auprès de Jésus ;
il le supplia et, tombant à ses genoux, lui dit :
« Si tu le veux, tu peux me purifier. »
Saisi de compassion, Jésus étendit la main,
le toucha et lui dit :
« Je le veux, sois purifié. »
À l’instant même, la lèpre le quitta
et il fut purifié.
Avec fermeté, Jésus le renvoya aussitôt
en lui disant :
« Attention, ne dis rien à personne,
mais va te montrer au prêtre,
et donne pour ta purification
ce que Moïse a prescrit dans la Loi :
cela sera pour les gens un témoignage. »
Une fois parti,
cet homme se mit à proclamer et à répandre la nouvelle,
de sorte que Jésus ne pouvait plus entrer ouvertement dans une ville,
mais restait à l’écart, dans des endroits déserts.
De partout cependant on venait à lui.
Feuille d'annonces - VIe dimanche du Temps Ordinaire - année B - 14 février 2024 : Dimanche 11 février cathédrale
Les hasards du calendrier nous font célébrer en même temps ce 11 février, la journée mondiale des malades et la journée nationale du dimanche de la santé. Prendre en compte en même temps les malades et ceux qui les soignent ou se mettent à leur service. Alors que bien souvent, on ne pense qu’aux malades… même lors du dimanche de la santé.
Voilà tout l’enjeu de cette journée !
Il nous faut tenir les deux ensemble.
De la même manière, il nous faut tenir ensemble l’exclusion que subissent les lépreux de l’Évangile et tant d’autres dans notre société et le désir de tous d’aller à Jésus.
De partout, on venait à lui !
Jésus attire les foules sans l’avoir désiré, sans l’avoir cherché. Et même s’il lui arrive de se retirer au désert pour prier, il ne se dérobe pas à ceux qui viennent à lui.
Il refuse toute forme d’exclusion. Plus encore, l’exclusion provoque sa colère, découvrirons-nous dans le commentaire biblique.
Dès lors, ayons à cœur de regarder ces nombreux chemins de vie qui mènent à Jésus. Ils sont parfois bien tortueux. Ils sont parfois longs et douloureux. Ils ont parfois l’aridité de la maladie, du handicap, de la grande vieillesse.
Il faut du temps et une bonne dose d’humilité pour découvrir que c’est au cœur même de l’épreuve que le Seigneur, parfois, se révèle…
Seuls, ceux qui vivent cette expérience peuvent tenter de balbutier quelques mots pour en parler. Il serait bien inconvenant qu’un bien-portant les leur assène !
Il nous revient aussi d’être vigilants quant à l’exclusion que vivent encore nombre de personnes du fait de leur « lèpre », qu’elle s’appelle maladie, handicap ou grand âge, différence, chômage, précarité… « Pas d’exclus sur notre terre » proclamait un slogan humanitaire il y a quelques années. Il est sans doute de notre responsabilité à chacun qu’il n’y ait d’exclu ni sur notre terre ni dans notre Église. Vaste programme !
Chantal Lavoilotte
Comité de rédaction
Conférence des évêques de France
UN DIMANCHE POUR LA SANTÉ,POUR QUOI ? POUR QUI ?
Le dimanche de la santé a été instauré vers la fin des années 80, à l’initiative d’un groupe de l’Action Catholique des Milieux Sanitaires et Sociaux (ACMSS) pour mettre en lumière la présence des soignants dans les communautés paroissiales. Ces soignants, par leurs horaires décalés, ne pouvaient pas toujours participer activement à la vie paroissiale, mais ils vivaient au quotidien ce « prendre soin » si cher au Christ.
La date retenue pour cette célébration au niveau national est celle du dimanche le plus proche du 11 février instauré par Jean-Paul II en 1992 comme journée mondiale des malades.
La vocation du dimanche de la santé est, vraiment, de rendre visible dans les communautés chrétiennes, l’ensemble des soignants, les chercheurs, les aidants, les visiteurs de malades, les équipes d’aumônerie et toutes les associations… ceux qui œuvrent, souvent dans l’ombre, et sont tellement importants, tellement essentiels pour la prise en charge des personnes malades, âgées, handicapées, pour leur bien-être.
Si vous souhaitez recevoir le sacrement des malades ce dimanche,
veuillez vous adresser à Marie-Sidonie de Blic au : 06.42.13.63.29
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