Les membres du conseil paroissial qui suivent actuellement une formation "Talenthéo" proposent aux personnes qui le désirent de venir travailler avec eux pour "bâtir l'avenir de la paroisse". Une réunion aura lieu à la maison Charles de Foucauld, 5 rue de la Cathédrale, le samedi 13 janvier 2024 de 10 H 00 à 12 H 00. Tous les paroissiens sont concernés ! Il conviendra au préalable de se signaler au presbytère 3, rue de la Cathédrale à Saint-Dié (03 29 56 12 88).
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Paroisse Saint-Dié
Paroisse Saint-Dié
Notre paroisse porte le même nom que le diocèse auquel elle est rattachée et couvre la ville entière de Saint-Dié-des-Vosges.
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- du lundi au vendredi de 9h30 à 11h30 et de 14h à 18h
- le samedi de 9h30 à 11h30
Talenthéo
L'Épiphanie du Seigneur
L'Épiphanie du Seigneur
Alléluia. Alléluia.
Nous avons vu son étoile à l’orient,
et nous sommes venus adorer le Seigneur.
Alléluia. (cf. Mt 2, 2)
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu Mt (2, 1-12)
Jésus était né à Bethléem, en Judée, au temps du roi Hérode le Grand.
Or, voici que des mages venus d’Orient arrivèrent à Jérusalem
et demandèrent :
« Où est le roi des Juifs qui vient de naître ?
Nous avons vu son étoile à l’orient et nous sommes venus nous prosterner devant lui. »
En apprenant cela, le roi Hérode fut bouleversé, et tout Jérusalem avec lui.
Il réunit tous les grands prêtres et les scribes du peuple,
pour leur demander où devait naître le Christ.
Ils lui répondirent :
« À Bethléem en Judée, car voici ce qui est écrit par le prophète :
Et toi, Bethléem, terre de Juda, tu n’es certes pas le dernier
parmi les chefs-lieux de Juda, car de toi sortira un chef,
qui sera le berger de mon peuple Israël. »
Alors Hérode convoqua les mages en secret
pour leur faire préciser à quelle date l’étoile était apparue ;
puis il les envoya à Bethléem, en leur disant :
« Allez vous renseigner avec précision sur l’enfant.
Et quand vous l’aurez trouvé, venez me l’annoncer
pour que j’aille, moi aussi, me prosterner devant lui. »
Après avoir entendu le roi, ils partirent.
Et voici que l’étoile qu’ils avaient vue à l’orient les précédait,
jusqu’à ce qu’elle vienne s’arrêter au-dessus de l’endroit
où se trouvait l’enfant.
Quand ils virent l’étoile, ils se réjouirent d’une très grande joie.
Ils entrèrent dans la maison, ils virent l’enfant avec Marie, sa mère ;
et, tombant à ses pieds, ils se prosternèrent devant lui.
Ils ouvrirent leurs coffrets, et lui offrirent leurs présents :
de l’or, de l’encens et de la myrrhe.
Mais, avertis en songe de ne pas retourner chez Hérode,
ils regagnèrent leur pays par un autre chemin.
Pour télécharger la feuille d'annonces : Dimanche 7 janvier
Que Marie ouvre « des chemins de paix et de réconciliation dans le monde »
Le 1ᵉʳ janvier, journée mondiale de la paix et Solennité de Marie Mère de Dieu, le Pape François a invité les nombreux fidèles de la place Saint-Pierre à se placer sous le regard de la Vierge. « Aujourd'hui, l'Évangile nous révèle que la grandeur de Marie ne consiste pas à accomplir un acte extraordinaire ; au contraire, tandis que les bergers, ayant reçu l'annonce des anges, se précipitent vers Bethléem (cf. Lc 2, 15-16), elle reste silencieuse », a-t-il lancé depuis la fenêtre du palais apostolique. « Le silence de la Mère est une belle caractéristique. Il ne s'agit pas d'une simple absence de paroles, mais d'un silence rempli d'étonnement et d'adoration pour les merveilles que Dieu est en train d'accomplir ».
Les mères, « cathédrales du silence »
Marie est mère, « non seulement parce qu'elle a porté Jésus dans son sein et lui a donné naissance, mais parce qu'elle le met en lumière, sans occuper sa place » a poursuivi le Pape. Reprenant l'expression du poète et religieux italien David Maria Turoldo (1916-1992), François a évoqué la Vierge, « cathédrale du silence ». Une « belle image » a-t-il expliqué. « Avec son silence et son humilité, Marie est la première "cathédrale" de Dieu, le lieu où Lui et l'homme peuvent se rencontrer. Mais nos mères aussi, avec leur attention discrète, avec leur sollicitude, sont souvent de magnifiques cathédrales du silence ».
Contre l'oppression et la violence
« Frères et sœurs, au début de la nouvelle année, regardons Marie et, avec un cœur reconnaissant, pensons et regardons aussi les mères, a encore dit François, pour apprendre cet amour qui se cultive surtout dans le silence, qui sait faire de la place à l'autre, en respectant sa dignité, en lui laissant la liberté de s'exprimer, en rejetant toute forme de possession, d'oppression et de violence, Nous en avons tellement besoin aujourd'hui ! »
En rappelant le message de la journée mondiale de la paix, l'évêque de Rome a rappelé que «la liberté et la coexistence pacifique sont menacées lorsque les êtres humains succombent à la tentation de l'égoïsme, de l'intérêt personnel, de l'appât du gain et de la soif de pouvoir ». « L'amour, en revanche, est fait de respect et de gentillesse, a-t-il insisté : de cette façon, il fait tomber les barrières et aide à vivre des relations fraternelles, à construire des sociétés plus justes et plus humaines, plus pacifiques ».
François a conclu son exhortation en invitant à prier la Mère de Dieu, « pour qu'au cours de la nouvelle année, nous puissions grandir dans cet amour doux, silencieux et discret, qui génère la vie », et pour que nous puissions ouvrir « des chemins de paix et de réconciliation dans le monde ».
Vatican News
L'Épiphanie du Seigneur
La Sainte Famille
La Sainte Famille
LA JOIE SIMPLE DE NOËL
Chers frères et sœurs,
La joie simple de Noël est offerte à tous comme le symbolise la crèche où tous se retrouvent devant l’enfant : les santons représentent tous les métiers, et dans bien des familles, un personnage ou un mouton représente en particulier chacun des membres. L’enfant de la crèche, vie donnée, vie à recevoir, qui s’offre à tous sans exception et parle au cœur de chacun : il n’est rien de plus universel que cet événement unique de Dieu qui se fait homme et entre dans notre histoire !
L’Esprit est à l’œuvre aujourd’hui dans l’Église, voilà la source de notre espérance ! Il nous conduit à l’adoration et au service, ainsi que le soulignait le pape François lors de la messe de clôture du synode : « adorer Dieu et aimer nos frères de son amour, voilà la grande et durable réforme » pour l’Église.
À chacun de vous et à tous vos proches,
belle et sainte année dans la joie et la lumière de Noël !
Père Denis BELIGNÉ
Administrateur diocésain
Il n'y aura pas de Newsletter cette semaine, veuillez nous en excuser.
Les membres du conseil paroissial qui suivent actuellement une formation "Talenthéo" proposent aux personnes qui le désirent de venir travailler avec eux pour "bâtir l'avenir de la paroisse". Une réunion aura lieu à la maison Charles de Foucauld, 5 rue de la Cathédrale, le samedi 13 janvier 2024 de 10 H 00 à 12 H 00. Tous les paroissiens sont concernés ! Il conviendra au préalable de se signaler au presbytère 3, rue de la Cathédrale à Saint-Dié (03 29 56 12 88).
Déclaration conjointe des évêques présidents des Conseils pour la Mission
universelle de l’Église, Famille et Société, Solidarité et Diaconie, ainsi que de
l’évêque d’Arras sur le projet de loi Immigration et Intégration
Sur le projet de loi Immigration et Intégration
Dans une tribune du mois de novembre, plus de trois mille soignants de toutes
spécialités et de toutes origines se sont fermement opposés au projet de
suppression de l’Aide médicale d’État (AME) apparu dans les discussions au Sénat
du projet de loi immigration et intégration. Ils rappelaient : « Les restrictions
politiques ne feront qu’éprouver les corps, contribuer à la dégradation de la santé
publique, compliquer la tâche des soignants et fragiliser un système de santé déjà
exsangue ». Invoquant leur code de déontologie et leur serment d’Hippocrate ainsi
que les textes en France sur les droits de l’homme, ils refusent « d’être contraints à
faire une sélection parmi les malades entre ceux qui pourront être soignés et ceux
laissés à leur propre sort »¹. Dans le prolongement de cet appel et des nombreuses déclarations de
professionnels de la santé qui ont suivi, confortées par celles – nombreuses aussi – d’économistes et de responsables associatifs, nous rappelons la nécessité
d’entendre le cri des soignants qui sont au plus près du terrain et appellent à la
raison. Nous manifestons notre inquiétude devant cette possibilité de suppression
de l’AME même si nous constatons avec soulagement que la Commission des lois
de l’Assemblée nationale est revenue sur le texte voté au Sénat.
Respecter la dignité humaine
Nous rappelons également, avec le pape François, que c’est dans son intégralité
que la personne humaine « a besoin de soins : le corps, l’âme, les liens affectifs, la
liberté et la volonté, la vie spirituelle… Le soin ne peut être sectionné ; car on ne
peut pas sectionner l’être humain »². Ce soin est médical mais il est aussi, de
manière complémentaire et inséparable, « lien », par l’intermédiaire de chacun et
tous les hommes et femmes de bonne volonté sont invités à vivre l’amitié sociale³. Porter secours c’est permettre aux personnes une vie digne, c’est-à-dire leur
permettre de vivre en sécurité, dans des conditions salubres et en pouvant vivre de
leur travail. Pour les personnes migrantes présentes en France, leur permettre une
vie digne c’est aussi leur permettre de vivre avec leurs familles, d’apprendre notre
langue et c’est respecter leurs droits légaux et fondamentaux. Il en va du respect
de la dignité de la personne humaine et de sa santé physique et mentale, il en va
de sa capacité à prendre part à la vie de notre pays.
Prendre soin des plus fragiles
Tout doit être fait pour apporter secours et soin à celles et ceux qui vivent dans des
conditions indignes, près de chez nous comme c’est le cas actuellement à Calais où
la détresse ne cesse de grandir. Tout doit être aussi fait pour que « l’état de droit
[soit] au service de la personne humaine et vise à en sauvegarder la dignité »⁴ . « Protéger le monde qui nous entoure, c’est prendre soin de nous-mêmes. »⁵ Et
prendre soin de nous-mêmes, c’est prendre soin des plus fragiles et ainsi de nos
sociétés et de notre maison commune.
Fait à Paris, le 7 décembre 2021
Mgr Denis Jachiet, évêque de Belfort-Montbéliard, président du Conseil pour la Mission universelle de l’Église,
Mgr Bruno Feillet, évêque de Séez, président du Conseil famille et société,
Mgr Pascal Delannoy, évêque de Saint-Denis, président du Conseil de la solidarité et de la diaconie,
Mgr Bruno Valentin, évêque de Carcassonne et Narbonne, membre du Conseil pour la Mission universelle de
l’Église, accompagnant la pastorale des migrants du Service national Mission et migrations,
Mgr Hervé Gosselin, évêque d’Angoulême, membre du Conseil famille et société, accompagnant le pôle santé du
Service national famille et société,
Mgr Olivier Leborgne, évêque d’Arras
IVe Dimanche de l'Avent
IVe Dimanche de l'Avent
Alléluia. Alléluia.
Voici la servante du Seigneur ;
que tout m’advienne selon ta parole.
Alléluia. (Lc 1, 38)
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
En ce temps-là, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu
dans une ville de Galilée, appelée Nazareth,
à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David,
appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie.
L’ange entra chez elle et dit :
« Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. »
À cette parole, elle fut toute bouleversée,
et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation.
L’ange lui dit alors :
« Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu.
Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ;
tu lui donneras le nom de Jésus.
Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ;
le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ;
il régnera pour toujours sur la maison de Jacob,
et son règne n’aura pas de fin. »
Marie dit à l’ange :
« Comment cela va-t-il se faire,
puisque je ne connais pas d’homme ? »
L’ange lui répondit :
« L’Esprit Saint viendra sur toi,
et la puissance du Très-Haut
te prendra sous son ombre ;
c’est pourquoi celui qui va naître sera saint,
il sera appelé Fils de Dieu.
Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente,
a conçu, elle aussi, un fils
et en est à son sixième mois,
alors qu’on l’appelait la femme stérile.
Car rien n’est impossible à Dieu. »
Marie dit alors :
« Voici la servante du Seigneur ;
que tout m’advienne selon ta parole. »
Alors l’ange la quitta.
Pour télécharger la feuille d'annonces : Dimanche 24 décembre
"L'annonciation", Ludovic BRÉA, vers 1515
"L'Annonciation est pour le pape source de joie"
Pape François
«L’Annonciation porte en elle une joie qui génère la vie et l’espérance, a affirmé le pape François. Et s’incarne dans notre façon de voir l’avenir, dans l’attitude avec laquelle nous regardons les autres». Car cette joie se transforme en solidarité, hospitalité, miséricorde envers tous, a-t-il insisté.
Comme Marie, nous pouvons nous aussi être pris de confusion, a reconnu le pontife, «en particulier en ces temps pleins de spéculations que nous vivons».
Aujourd’hui, «on spécule sur la vie, sur le travail, sur la famille, sur les pauvres et les migrants, les jeunes et leur futur», a déploré le pape. «Tout semble réduit à des chiffres», dit-il, laissant pour compte la vie quotidienne de «tant de familles subissant la précarité et l’insécurité».
«Le rythme vertigineux auquel nous sommes soumis semblerait nous voler l’espérance et la joie», a regretté le pape. Car «paradoxalement, quand tout semble s’accélérer pour construire, en théorie, une société meilleure, au bout du compte nous n’avons plus de temps pour rien ni personne», a-t-il lancé: ni pour notre famille, ni pour la communauté, l’amitié, la solidarité ou la mémoire.
«Son nouveau temple»
Ces épreuves exigent selon le pontife, «que nous sachions regarder le présent avec l’audace de celui qui sait que «la joie du salut a pris forme dans la vie quotidienne d’une jeune femme de Nazareth».
Par l’Annonciation, a expliqué le pape François, Dieu a désigné Son «nouveau temple» en le sein de sa mère. Désormais la rencontre avec son peuple aura lieu (…) à la marge, en périphérie».
«Son nouveau temple ne sera plus un lieu réservé à quelques-uns, tandis que la majorité restera dehors à attendre» a-t-il déclaré. Selon lui, à partir de l’Annonciation, plus rien ni personne ne lui sera indifférent, aucune situation ne sera privée de sa présence. Car «la joie du salut a commencé dans la maison d’une jeune femme de Nazareth».
Source : Centre catholique des médias Cath-Info- 2017
Pour commander : Microsoft Word - Information pâtés lorrains 2024.docx
Invitation à une réflexion sur l'Avenir de la paroisse par le groupe Talenthéo
Les membres du conseil paroissial qui suivent actuellement une formation "Talenthéo" proposent aux personnes qui le désirent de venir travailler avec eux pour "bâtir l'avenir de la paroisse". Une réunion aura lieu à la maison Charles de Foucauld, 5 rue de la Cathédrale, le samedi 13 janvier 2024 de 10 H 00 à 12 H 00. Tous les paroissiens sont concernés ! Il conviendra au préalable de se signaler au presbytère 3, rue de la Cathédrale à Saint-Dié (03 29 56 12 88).
IIIe Dimanche de l'Avent
IIIe dimanche de l'Avent
Alléluia. Alléluia.
L’Esprit du Seigneur est sur moi :
il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres.
Alléluia. (cf. Is 61, 1)
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (Jn 1, 6-8, 19-28)
Il y eut un homme envoyé par Dieu ; son nom était Jean.
Il est venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière,
afin que tous croient par lui.
Cet homme n’était pas la Lumière,
mais il était là pour rendre témoignage à la Lumière.
Voici le témoignage de Jean,
quand les Juifs lui envoyèrent de Jérusalem
des prêtres et des lévites pour lui demander :
« Qui es-tu ? »
Il ne refusa pas de répondre, il déclara ouvertement :
« Je ne suis pas le Christ. »
Ils lui demandèrent : « Alors qu’en est-il ?
Es-tu le prophète Élie ? »
Il répondit : « Je ne le suis pas.
– Es-tu le Prophète annoncé ? »
Il répondit : « Non. »
Alors ils lui dirent : « Qui es-tu ?
Il faut que nous donnions une réponse
à ceux qui nous ont envoyés.
Que dis-tu sur toi-même ? »
Il répondit :
« Je suis la voix de celui qui crie dans le désert :
Redressez le chemin du Seigneur,
comme a dit le prophète Isaïe. »
Or, ils avaient été envoyés de la part des pharisiens.
Ils lui posèrent encore cette question :
« Pourquoi donc baptises-tu,
si tu n’es ni le Christ, ni Élie, ni le Prophète ? »
Jean leur répondit :
« Moi, je baptise dans l’eau.
Mais au milieu de vous se tient celui que vous ne connaissez pas ;
c’est lui qui vient derrière moi,
et je ne suis pas digne de délier la courroie de sa sandale. »
Cela s’est passé à Béthanie, de l’autre côté du Jourdain,
à l’endroit où Jean baptisait.
Pour télécharger la feuille d'annonces, veuillez cliquer ici : Dimanche 17 décembre